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Les Knicks maîtrisent les Hawks et gagnent enfin un match le jour de Noël

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Les Knicks maîtrisent les Hawks et gagnent enfin un match le jour de Noël – L’Équipe (lequipe.fr)

New York a remporté samedi face à Atlanta (101-87) son premier match de Noël depuis dix ans. Kemba Walker a réalisé un triple-double et Evan Fournier a inscrit 15 points, dont dix d’affilée en fin de première mi-temps.

D.L.25 décembre 2021 à 21h17

est presque un bonheur nouveau. Et pourtant, avec 54 matches de Noël au compteur, les Knicks sont des habitués de ces parties enguirlandées. Mais ces derniers temps, ils ont souvent eu les boules un 25 décembre, eux qui n’avaient plus gagné en ce jour festif depuis dix ans. Alors, cette victoire face aux Atlanta Hawks lors d’un « Christmas Game » fait un bien fou.

D’abord, elle casse le vilain fil de l’histoire et leur offre enfin le cadeau au pied du sapin, après six défaites de suite à la Noël au Madison Square Garden. Ensuite, elle redonne quelques couleurs à une franchise qui n’a pas toujours fait montre d’inspiration collective depuis le début de la saison, mais qui a samedi pris un réel plaisir, sous les pas d’un Kemba Walker tout sourire et auteur d’un triple-double (10 pts, 10 rbds, 12 passes), qu’il a chassé pendant près de dix minutes, alors qu’il ne lui manquait plus qu’un rebond à capter. Ce qu’il fit à six minutes de la fin du match, pour le premier triple-double « de Noël » de l’histoire des Knicks !

Kemba Walker de retour aux affaires

Cette belle histoire aura au moins eu le mérite de maintenir le Madison Square Garden en éveil. Car le match, lui, était plié depuis le début du dernier quart-temps. Avec huit joueurs sous protocole Covid et une rotation bien trop raccourcie, les Hawks de Nate MCMillan ont été valeureux une fois, deux fois. Hors champ d’entrée après une entame de match new-yorkaise pétaradante, derrière un Julius Randle bien mis (25 pts au final) et un 7 sur 7 aux tirs de bon aloi, dont un impeccable 5 sur 5 derrière l’arc, Atlanta était déjà relégué à 16 points en moins de cinq minutes (19-3) !

En abaissant le tempo, en trouvant Cam Reddish dans l’agressivité et Delon Wright de loin, la troupe de Nate McMillan revenait pourtant sur le chemin, mais Evan Fournier embrasait la fin de la première mi-temps, avec dix points de suite à 100 %, dans tous les costumes d’attaque (tirs primés, un contre un, flotteur) en moins de deux minutes !

Un coup de sang du Frenchie (15 pts, 5 rbds, 3 passes en 31 minutes) qui rappelait, là, ce qu’il pouvait faire balle en main et qui rejetait à nouveau Atlanta à dix points à la pause (61-51). Les Hawks ne reviendraient jamais vraiment. Un petit rapproché, certes, au coeur du troisième quart-temps, mais vite balayé par quelques flèches lointaines décochées par le shooteur compulsif de New York, Quentin Grimes, et l’affaire était dite.

Une belle affaire pour les Knicks qui recollent aux mollets des Hawks à l’Est avec quinze succès. Un joli moment aussi pour Kemba Walker. Sorti de l’effectif durant près de trois semaines et dix matches fin novembre par coach Tom Thibodeau, peu satisfait de son All-Star, l’ancien Hornet semble être revenu avec un peu plus d’implication et d’altruisme. « Je suis d’ici, je suis de retour à la maison », concluait ainsi, dans un large sourire, le natif du Bronx.

MLS: NEW YORK REMPORTE LE CHAMPIONNAT POUR LA PREMIÈRE FOIS DE SON HISTOIRE

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MLS: New York remporte le championnat pour la première fois de son histoire (bfmtv.com)

Opposé aux Portland Timbers ce samedi soir, le New York City FC a acquis pour la première fois de son histoire le titre dans le championnat de la Ligue nord-américaine de football (MLS), en s’imposant au terme d’une séance de tirs au but (1-1, 4-2).

Le New York City FC a remporté samedi le championnat de la Ligue nord-américaine de football (MLS) pour la première fois de son histoire, en battant les Portland Timbers aux tirs au but (1-1, 4-2) au terme d’une finale à rebondissements.

Les new-yorkais, qui avaient ouvert le score à la 41e minute sur une tête de Valentin Castellanos, servi par l’Argentin Maxi Moralez, paraissaient sûrs de leur victoire après avoir largement dominé un match assez décousu dans l’ensemble. Mais Felipe Mora parvenait à retourner la situation de façon miraculeuse en marquant pour les Timbers à quelques secondes du coup de sifflet final.

Malgré les protestations furieuses des new-yorkais, qui réclamaient le hors-jeu, le but était confirmé par l’arbitre et forçait une prolongation. Celle-ci s’achevait sur le même score de 1-1 malgré un beau tir du Paraguayen de Portland Christian Paredes, stoppé in extremis par un plongeon du gardien new-yorkais Sean Johnson.

L’équipe de la Grosse pomme s’imposait finalement 4-2 dans les tirs aux buts, Johnson parvenant à bloquer deux penalties et offrant au défenseur péruvien Alex Callens l’honneur d’inscrire le but de la victoire.

Jesus Medina touché par un jet de canette de bière

« C’était un match de dingue », a commenté le manager de New York Ronny Deila, qui a tenu sa promesse, faite avant la rencontre, de se déshabiller en public en cas de victoire, ne gardant que ses sous-vêtements. « On contrôlait complètement le jeu et je pensais qu’on allait gagner en 90 minutes. Et puis ils ont marqué. On était brisés ».https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=RMCsport&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&features=eyJ0ZndfZXhwZXJpbWVudHNfY29va2llX2V4cGlyYXRpb24iOnsiYnVja2V0IjoxMjA5NjAwLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X2hvcml6b25fdHdlZXRfZW1iZWRfOTU1NSI6eyJidWNrZXQiOiJodGUiLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X3NwYWNlX2NhcmQiOnsiYnVja2V0Ijoib2ZmIiwidmVyc2lvbiI6bnVsbH19&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1469782013834108930&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Frmcsport.bfmtv.com%2Ffootball%2Fmajor-league-soccer%2Fmls-new-york-remporte-le-championnat-pour-la-premiere-fois-de-son-histoire_AN-202112120026.html&sessionId=2e79a6a14c2faa32b553452f9da9c87ed2428491&siteScreenName=RMCsport&theme=light&widgetsVersion=9fd78d5%3A1638479056965&width=550px

« Mais nous avons touché le fond tant de fois cette année. Ce groupe de joueurs sont des gagnants. C’était juste un match en montagnes russes », a ajouté le Norvégien, ancien du Celtic Glasgow.

Le match a été marqué par un incident. Le Paraguayen de New York Jesus Medina a été touché à la tête par une canette de bière lancée depuis les tribunes, juste après le but de son équipe en première mi-temps.

C’était la première fois que le New York City FC disputait la finale de la MLS. Portland avait pour sa part été sacré en 2015.GL avec AFP

New York City bat Philadelphie et rejoint Portland en finale de la MLS

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New York City bat Philadelphie et rejoint Portland en finale de la MLS – L’Équipe (lequipe.fr)

New York City s’est offert la première finale de MLS de son histoire en battant Philadelphie (2-1), dimanche au Subaru Park, en finale de la Conférence Est. Menés au score à la suite du but contre son camp du défenseur Alexandre Callens (63e), les hommes de Ronny Deila n’ont pas tardé à se reprendre grâce à Maxi Moralez (65e), avant que le remplaçant Talles Magno ne donne la victoire à son camp à la 88e minute.

Philadelphie était privé de 11 joueurs en raison du protocole Covid-19 tandis que NYC, de son côté, devait se passer de son soulier d’or Valentin Castellanos, suspendu après son expulsion contre New England Revolution en demi-finales de conférence. Samedi, Portland, titré en 2015, avait pris le dessus sur Real Salt Lake (2-0). La finale aura lieu le 11 décembre.

MILWAUKEE ASSOMMÉ À NEW YORK

pour lire l’article : Milwaukee assommé à New York – Fil Info – NBA – Basket (lefigaro.fr)

Une soirée renversante. Après le festival de Dallas contre les Clippers, Brooklyn (29 pts pour Durant, 25 pts pour Irving) a encaissé son premier revers de la saison à Charlotte 106-104, Milwaukee s’est incliné à New York 130-110 (12 pts pour Ntilikina à 4/6 aux tirs, dont 4/4 à 3 pts ; 27 pts pour Giannis Antetokounmpo) et Boston a laissé filer le succès 108-107 à Indiana (Domantas Sabonis, 19 pts, inscrivant le panier de la victoire).

NBA – Les Knicks ridiculisés pour une erreur jamais vue !

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Les années passent, et les Knicks restent les Knicks. Malgré l’arrivée du très sérieux Tom Thibodeau sur le banc, New York peine à gagner en crédibilité. Et quand on voit l’incroyable erreur de la franchise face aux Sixers, on se dit que les choses ne sont pas prêtes de s’arranger !

Il y a des franchises pour lesquelles tout va bien depuis plusieurs saisons, et tout ira bien dans les années à venir. À l’Est par exemple, le Heat n’a raté les playoffs qu’à 6 reprises depuis le passage à l’an 2000, la franchise sort d’inattendues Finales NBA, et pourrait rester au sommet encore quelques temps grâce à ses jeunes stars comme Tyler Herro et Bam Adebayo.

Il y a aussi des franchises qui ont connu le pire pendant quelques saisons, mais qui ont su magnifiquement rebondir, et en très peu de temps ! Les Lakers ont par exemple traversé un désert sportif après la retraite de Kobe Bryant, mais l’arrivée de LeBron James et l’échange des jeunes talents draftés contre Anthony Davis ont suffit à leur donner un titre…

Mais toutes les équipes n’ont pas cette chance… Pour certaines franchises, la lose est désormais dans l’ADN. C’est le cas des Knicks, qui sont à la peine depuis 7 ans, et qui trouvent toujours de nouveaux moyens de se ridiculiser auprès des fans. Ce samedi par exemple, une grosse erreur jamais vue est venue rappeler que les Knicks resteront toujours les Knicks…

Reggie Bullock n’a pas pu rentrer en jeu… car son maillot n’était pas floqué du même numéro devant et derrière ! Une erreur unique et indigne du franchise NBA qui se respecte… Mais comme l’ont bien expliqué les internautes, c’est une erreur qui ne pouvait arriver qu’à New-York finalement.

Malheureusement pour le responsable des équipements, cette erreur pourrait bien lui couter son travail… Les américains sont à cheval sur la discipline, et cette erreur est assez impardonnableà ce niveau.

Frank Ntilikina au plus bas chez les Knicks

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Plus les années passent, moins la situation de Frank Ntilikina n’évolue dans le bon sens à New York. Bien au contraire, il commence à toucher le fond avec les Knicks et rien ne semble tourner en sa faveur.

Frank Ntilikina tourne en rond d’année en année avec les Knicks. À l’aube de sa 4ème saison en NBA, le meneur tricolore n’a toujours pas réussi à saisir sa chance et à s’imposer en tant que patron dans cette franchise pourtant sans grand meneur de jeu. Et cela ne semble pas prêt de s’arranger.

S’il n’y a pas de n°1 clairement défini, la concurrence est toujours plus importante à son poste. Cette année, New York compte pas moins de 4 meneurs avec Elfrid Payton, Dennis Smith Jr, Frank Ntilikina et le rookie Immanuel Quickley. Et pour couronner le tout, ce dernier fait déjà forte impression.

Pour le 3ème match de présaison des Knicks (remporté 100-93 face aux Cavaliers), Quickley a remarquablement fait parler de lui, malgré un horrible pourcentage au tir (9 points à 3/11 au tir, mais surtout 7 passes décisives). Tom Thibodeau, le nouveau coach New Yorkais, a beaucoup aimé ce qu’il a vu :

Pendant ce temps-là, Ntilikina est resté sur le banc à cause d’une douleur au tendon d’Achille. Il ne manquait plus que ça.

Dans ces conditions, le French Prince pourrait encore reculer dans la rotation et devenir la dernière option de l’équipe au poste 1, derrière le rookie drafté en 25ème position. Bien qu’il ait débuté plus de matchs la saison dernière que les deux précédentes (26 contre 25 entre 2017 et 2019), la donne pourrait changer cette saison.

Mais qu’importe, Frank Ntilikina garde toujours espoir. Il a été au coeur de certaines rumeurs durant la free agency, et il a clairement répondu à ces dernières. Il continuera de travailler en espérant que la roue tourne enfin. Et qui sait, un passage sur le poste 2 pourrait changer la donne

Il faut tout de même préciser que Frank Ntilikina entre dans sa dernière année de contrat. C’est probablement cette saison que tout va se jouer pour le French Prince.

Giants – Cardinals (7-26) : Arizona se replace, New York replonge

Par Lucas Vola13 décembre 2020

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New York Giants (5-8) – Arizona Cardinals (7-6) : 7-26

L’enjeu aura peut-être eu raison du jeu. Dans un match aussi important pour l’une comme pour l’autre équipe, le niveau n’aura pas vraiment été au rendez-vous. Cardinals et Giants jouaient ce dimanche une partie de leur avenir en playoffs. Les locaux, premiers de leur division avant la rencontre, n’ont pas réussi à solidifier leur position en tête de la NFC Est et laissent la porte ouverte à Washington.

Arizona en revanche revient dans la course aux Wild-Cards avec ce succès. Tout n’aura pas été parfait pour Kyler Murray (24/35, 244 yards et 1 TD), DeAndre Hopkins (9 réceptions pour 136 yards) et leurs coéquipiers, qui ont souvent butté sur la défense des Giants, mais qui ont su faire plus que New York. En même temps, cela n’était pas vraiment très compliqué, tant Daniel Jones (11/21, 127 yards, 3 fumbles dont 1 perdu) et les hommes de Joe Judge ont semblé à côté de leurs pompes.

37 turnovers pour Jones depuis 2019

Déjà, la première mi-temps entière est à oublier pour les Giants et en particulier pour son quarterback. Le lanceur, de retour d’une blessure aux abducteurs, est complétement passé à travers ses trente premières minutes. La preuve en statistiques avec 6 passes complétées sur 12 tentées et seulement 44 yards accumulés. Pire, il retombe dans ses travers : les turnovers. C’est simple, depuis 2019, Daniel Jones est le joueur qui en commet le plus dans la ligue (37). Dès le premier drive de la partie, le lanceur se fait sacker par un ancien de la maison, Markus Golden, et perd le ballon.

Plus tard dans le match, Daniel Jones laissera de nouveau échapper deux ballons qu’il récupèrera finalement de justesse. Mais le symbole est là, le numéro 6 de la draft 2019 n’est pas dans son match. Il ne lâche pas assez vite le ballon et reste trop imprécis. Si vous ajoutez à ça, un nouveau fumble, sur un retour de coup de pied cette fois et vous avez une attaque en grandes difficultés qui n’inscrit aucun point en première mi-temps et qui laisse sa défense livrée à elle-même.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=false&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1338184510630932486&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F247302%2Fgiants-cardinals-7-26-arizona-se-replace-new-york-replonge%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

De l’autre côté du ballon, les Giants font ce qu’ils peuvent pour contenir les attaques des Cardinals. Ils arrêtent Arizona à un yard de leur ligne sur une 4e tentative dès le premier drive, forcent deux punts, et obligent les visiteurs à se contenter de field goals à deux reprises. Sauf qu’à force de prendre la pression, l’escouade craque. Kyler Murray trouve enfin la solution avec une passe vers Dan Arnold sur 7 yards. Le troisième touchdown en deux matchs pour le tight end (0-13). La défense commence alors à fatiguer et le match est plié dès le retour des vestiaires quand les Cardinals prennent 20 points d’avance.

Colt McCoy à la place de Daniel Jones

Kenyan Drake (23 courses, 80 yards et 1 TD) bonifie un bon drive de son équipe avec une course de 1 yard (0-20). Dans la foulée, sur un sursaut d’orgueil, les Giants arrivent enfin dans la partie de terrain adverse. Une belle passe de 39 yards de Daniel Jones -la seule- vers Golden Tate et cette fois c’est Dion Lewis qui trouve l’en-but (7-20). Mais ce ne sera qu’un feu de paille et New York retombe ensuite dans sa gabegie offensive. Trois punts et un nouveau fumble pour terminer la rencontre, c’en est trop pour Joe Judge qui décide de faire rentrer Colt McCoy à la place de Daniel Jones.

Le quarterback change donc mais le résultat est le même, la ligne offensive est aux abonnées absentes et les sacks s’accumulent. 8 en tout, dont 5 pour Haason Reddick, un record de franchise. Les Cardinals rajouteront deux field goals pour donner un peu plus d’ampleur à cette victoire (7-26) et peuvent de nouveau croire aux playoffs. Pour les locaux en revanche, ils restent désormais pendu au résultat de Washington avant d’enchaîner sur une fin de saison compliquée avec les Browns, les Ravens et les Cowboys au menu.

New York Knicks : une première sortie réussie, peut-on être optimiste ?

PAR DAMIEN VIOTTOLOPUBLIÉ LE 

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HIer soir les Knicks revenaient sur les parquets après une longue interruption. Les fans de la franchise de la ville qui ne dort jamais ont dû attendre pas moins de dix mois avant de revoir leur équipe. Ces derniers sont venus à bout des Pistons (90-84) pour leur premier match de pré-saison.

RJ Barrett rassure

On compte sur lui pour assurer l’avenir de la franchise de New York : l’ancien coéquipier de Zion Williamson à Duke, RJ Barrett, a été le meilleur marqueur pour les Knicks.

C’est exactement ce qu’on lui demande, il doit être un leader en terme de performances. Sa précision à trois points peut et doit être améliorée car il n’a pas réussi à mettre le moindre tir à l’extérieur de la raquette. Mais il s’agit de son premier match de la pré-saison, il aura le temps de s’améliorer à ce niveau là. Et Knicks en auront bien besoin.

Nerlens Noel ou Mitchell Robinson ? Les Knicks n’ont que l’embarras du choix

S’il y a quelque chose à retenir de la nuit dernière pour les Knicks, c’est à quel point l’arrivée de Nerlens Noel a fait du bien à l’intérieur de New York.

Arrivé comme le second assuré, celui qui devait permettre à Mitchell Robinson de se développer, d’être un mentor, au final Noel a été très bon et pourrait même lui voler sa place de titulaire à l’avenir.

Grâce à ses 11 points et surtout 8 rebonds son impact a été central. Mais, on peut féliciter les Knicks d’avoir bâti un intérieur solide, car entre Noel, Randle et Robinson, ces derniers ont cumulé : 23 points, soit presque un tiers de tous les points marqués par l’équipe. Mais surtout 23 rebonds soit 41% de tous les rebonds pris par l’équipe. Pas mal pour une première !

Obi Toppin impressionne

La première apparition du choix de premier tour de la Draft NBA 2020, Obi Toppin était très attendue. Et il n’a pas déçu, en 20 minutes, il a enregistré 11 points et 7 rebonds. Mais surtout il a montré qu’il était un poison à l’intérieur de la raquette.

Ses mouvements au poste ont été très efficaces, de même sous le panier il a su montrer toute sa puissance. Son physique est son atout principal c’est un joueur qui sait l’utiliser pour gagner les duels.

C’est une première sortie mais on ne veut qu’en voir plus, il est difficile de ne pas penser à l’ancien intérieur qui a marqué les Knicks : Amar’e Stoudemire. Un nom qui évoque de bons souvenirs pour l’intérieur des Knicks qui connaissait ses beaux jours.

Pour conclure, évidemment il faut prendre cette première performance avec calme et recul, la route est encore longue pour New York. Cependant cette équipe a montré de très belles choses ce soir et une amélioration nette. Et il ne faut pas se leurrer, la patience et le calme ne sont pas vraiment des vertus partagées par les fans de New York, qui est une ville pleine de passion pour son équipe de basket. Alors un peu d’optimisme ne fera pas de mal, après tout, c’est quelque chose que les fans des Knicks n’ont pas connu depuis bien longtemps.

les Islanders de New York

pour lire l’article : LNH – 30 équipes en 30 jours : les Islanders de New York | RDS.ca

En collaboration avec Hockey 360, RDS poursuit son survol de 30 équipes de la LNH en 30 jours (sauf le CH) avec les Islanders de New York.

Au cours de la saison morte, les Islanders de New York ont apporté très peu de changements à la formation qui a atteint la finale de l’Association de l’Est l’automne dernier.

Outre un contrat de deux saisons d’une valeur de 1,45 million $ qu’il a offert au défenseur Sebastian Aho, le directeur général des Islanders Lou Lamoriello a réglé deux autres dossiers au sein de sa brigade défensive.https://imasdk.googleapis.com/js/core/bridge3.429.0_fr.html#goog_689149088Volume 90% Sorokin capable de remplacer Greiss?

Le vétéran DG a d’abord échangé le joueur autonome avec compensation Devon Toews à l’Avalanche du Colorado afin de s’offrir une marge de manœuvre en vue des prochaines négociations contractuelles avec Mathew Barzal. Puis, il s’est entendu avec Ryan Pulock, qui était lui aussi joueur autonome avec compensation, sur les termes d’un contrat de deux saisons d’une valeur de 10 M$.

Devant le filet, Thomas Greiss profité de son autonomie complète pour joindre les rangs des Red Wings de Detroit. Il devrait être remplacé par le gardien russe de 25 ans Ilya Sorokin. Ce dernier a joué les huit dernières saisons dans la KHL. Il a maintenu une moyenne inférieure à 2,00 lors des six dernières campagnes et a été élu gardien par excellence de la KHL en 2015-2016.

les Rangers de New York

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En collaboration avec Hockey 360, RDS poursuit son survol de 30 équipes de la LNH en 30 jours (sauf le CH) avec les Rangers de New York.

La chance a souri aux Rangers de New York et cette équipe s’est retrouvée parmi les grandes gagnantes de la dernière saison morte dans la LNH.

Lorsqu’ils ont remporté la loterie même s’ils avaient terminé la dernière saison régulière au 18e rang de la LNH, les Blue Shirts ont rêvé au Québécois Alexis Lafrenière. Ce rêve est devenu réalité en octobre alors qu’ils ont nommé l’attaquant de l’Océanic de Rimouski au tout premier rang.

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Alors que l’équipe avait annoncé il y a quelques saisons avoir entamé un processus de reconstruction, voilà qu’elle pourra miser sur une attaque qui comprend Artemi PanarinMika ZibanejadKaapo Kakko et dorénavant Lafrenière qui a terminé la saison dernière avec 112 points en 52 matchs dans la LHJMQ.

« Je ne suis pas inquiet qu’il va devenir un de mes meilleurs amis. Il est un très bon gars, et on ne s’en cachera pas, il y a des habiletés uniques. J’ai hâte de le voir à l’oeuvre moi aussi durant les matchs! », a mentionné l’ailier québécois Julien Gauthier, qui amorcera à 23 ans sa première saison complète à New York.

« Pour bâtir une équipe gagnante, ça prend un noyau de jeunes joueurs qui joue ensemble pendant quelques années, et qui arrive à maturité ensemble entre 23 et 26 ans. Ça fait une équipe qui pousse dans la même direction. (…) Il y a un hype autour de notre équipe, et déjà même si on est jeunes, on est capables de rivaliser avec de très bonne équipes. Imagine ce que ça va donner dans les prochaines années! »

Un nouveau chapitre s’entame à New York avec la venue de Lafrenière, mais également à la suite du départ d’Henrik Lundqvist. Après 15 saisons avec les Rangers, King Henrik a pris la direction de Washington pour évoluer avec les Capitals. La cage new-yorkaise sera donc gardée par Alexandar Georgiev et Igor Shesterkin.

Quelques changements ont eu lieu à la ligne bleue, alors que Marc Staal est passé aux Red Wings de Detroit. Jack Johnson a rejoint la brigade défensive avec un contrat d’une saison à 1,15 millions $.

Le défenseur Tony DeAngelo s’est aussi entendu avec l’organisation sur les termes d’une prolongation de contrat de deux saisons et 4,8 millions $ annuellement.https://imasdk.googleapis.com/js/core/bridge3.429.0_fr.html#goog_620600196Volume 90% «Je suis certain qu’Alexis Lafrenière va devenir un de mes meilleurs chums.»