Archives de catégorie : Sport

Base Ball : Les Yankees de New York

Les Yankees de New York ont mis fin à une séquence de cinq défaites, jeudi, en disposant des Indians de Cleveland 8-6.

Brian McCann a fait parlé son bâton dès la première manche en expédiant la balle par-dessus la clôture avec deux hommes sur les sentiers.

Brett Gardner a pour sa part contribué trois points produits dans la victoire.

Les «Bombardiers du Bronx» n’accusent qu’un demi match de retard sur les Blue Jays de Toronto au classement de l’Est dans la Ligue américaine.

Soccer : New York City

Villa mène le New York City FC à la victoire

NEW YORK, États-Unis – Thomas McNamara, David Villa et Kwadwo Poku ont marqué en deuxième demie et le New York City FC a défait le D.C. United 3-1, jeudi, à leur tout premier duel.

Villa a donné les devants aux siens à la 80e minute. Après un revirement du D.C. United en milieu de terrain, Andrea Pirlo a refilé le ballon à Villa qui a déjoué deux défenseurs avant de marquer. Poku a complété la marque à la 88e minute sur une belle pièce de jeu individuel.

Le NYCFC a mis fin à une séquence de deux revers, tandis que le D.C. United a vu sa série de trois victoires prendre fin.

Alvaro Saborio a ouvert la marque à la 36e minute pour le D.C. United. McNamara a créé l’égalité à la 51e minute.

Ce but a mis un terme à la séquence de 400 minutes sans accorder de but du gardien Bill Hamid, la plus longue cette saison dans la MLS.

New York Basket : Les Kniks

Les Knicks sont devenus trop nuls pour jouer le jour de Noël

La NBA a évincé les New York Knicks du fameux Christmas Day très suivi à la télévision américaine.
Les New York Knicks n’ont pas été sauvés par leur prestige ce coup-ci. La désastreuse saison de la franchise présidée par Phil Jackson a poussé la NBA à mettre fin à la série de six participations consécutives des New Yorkais au Christmas Day. Décevants presque à chaque fois, les coéquipiers de Carmelo Anthony n’auront pas l’honneur d’accompagner les Warriors, les Cavs, le Thunder, les Bulls, le Heat, les Pelicans, les Clippers, les Lakers et deux autres équipes à déterminer le 25 décembre prochain pour l’une des journées les plus suivies à la télévision par les fans.

Pour rappel, les Knicks débuteront leur saison le 28 octobre prochain sur le parquet de Milwaukee. Le calendrier complet sera connu ce mercredi soir pour l’ensemble des franchises de la ligue.

Hockey : New York Rangers

Jarret Stoll signe un contrat d’une saison avec les Rangers de New York

Les Rangers de New York ont annoncé lundi la signature de l’attaquant et joueur autonome sans compensation Jarret Stoll pour une durée d’une saison.

Le joueur de centre de 33 ans a disputé 792 rencontres dans la LNH, avec les Kings de Los Angeles et les Oilers d’Edmonton, l’équipe qui l’a repêché au deuxième tour en 2002.

Stoll a fourni six buts et 11 aides pour 17 points en 73 matchs la saison dernière, avec les Kings.

En avril dernier, Stoll a été arrêté à Las Vegas et accusé de possession de cocaïne. Il a plaidé coupable et a été sentencé à effectuer 32 heures de travaux communautaires.

Histoire des Knicks

http://trashtalk.co/2015/08/10/john-starks-combien-de-temps-de-retirer-le-numero-3-aux-knicks/

John Starks : combien de temps avant de retirer le numéro 3 aux Knicks ?

par : David dans One-on-One, ZSlider 1 heure ago

C’est l’histoire d’un gars né dans l’Oklahoma dont la carrière NBA n’a pas tenu à grand chose. L’histoire d’un mec qui entre vol et cannabis ne s’est pas attiré les faveurs des scouts lorsqu’il était à l’université. De Roger State CC à Oklahoma State en passant par Northern Oklahoma CC et Tulsa JC, difficile d’imaginer John Starks faire son trou chez les professionnels. Et pourtant, avec une part de chance à ses débuts, beaucoup de hargne et de culot par la suite, il s’est imposé dans le cœur des fans des Knicks. Il est temps aujourd’hui de lui rendre hommage en réclamant le retrait du jersey numéro 3 à New York.

Non, pas le numéro 3 de Dennis Scott, celui de « Starbury », de Shawne Williams, Kenyon Martin ou Jose Calderon. Celui de John Starks, un joueur dont le palmarès est loin des meilleurs joueurs de sa génération, puisqu’il n’a pris part qu’à un seul All Star Game et été élu une unique fois dans une All Defensive Team. Son plus grand fait d’armes en terme de récompense se limite – le mot est volontairement dur – à un titre de meilleur sixième homme en 1997. Certes, de nombreux joueurs aimeraient pouvoir en dire autant. Mais lorsqu’on a croisé régulièrement la route de Michael Jordan, Mitch Richmond, Reggie Miller, Latrell Sprewell, Clyde Drexler, Joe Dumars ou plus tard Kobe Bryant et Penny Hardaway, cela ne pèse pas lourd. Pourtant, la marque qu’il a laissée sur les années 1990, en particulier du côté de New York, dépasse largement les honneurs distribués par la Ligue.

De tous les arrières qu’il a affrontés, Reggie et Michael ont été ses principaux rivaux. Si le joueur des Pacers et celui des Bulls avaient sans aucun conteste plus de talent que John Starks, jamais le shooting guard des Knicks n’a baissé les bras ou les yeux devant le challenge de devoir les contenir. Il savait qu’ils étaient meilleurs que lui, mais il voulait les gêner, leur rendre la vie horrible sur le parquet. Par tous les moyens : défense, attaque agressive, parole, coup vicieux… De quoi ajouter encore plus à l’intensité de ces confrontations. Et c’est ça que le Madison Square Garden aimait chez Starks : il donnera tout, rendant ces rivalités historiques. L’arrière new-yorkais rentrait chaque soir avec l’écume à la bouche, comme si sa vie dépendant de l’issue de sa match-up.

Il faut dire que son parcours justifie sa hargne. Non drafté en 1988, il gratte quand même un contrat à Golden State avant de partir s’aguerrir en CBA (Continental Basketball Association) et WBL (World Basketball League). Suffisant pour que les Knicks lui proposent un essai. Comme à son habitude, John Starks va au bout de lui-même et toise ceux qui seront ses coéquipiers lors des entrainements. Dans sa volonté de marquer les esprits, il tente un dunk sur Patrick Ewing. Sérieux mec ? Le pivot le scotche et Starks se tort le genou, direction la case infirmerie. Ce qui aurait dû être un coup dur sera finalement sa chance. Alors que les Knicks souhaitaient le couper, ils ne peuvent mettre fin à son contrat tant qu’il est blessé. A son retour, le staff médical doit s’occuper du cas d’un autre arrière de l’effectif, offrant une opportunité unique au #3 de prouver ce qu’il vaut en saison régulière. Il saisira la perche tendue pour gravir les échelons dans le roster. La porte était entrouverte, il a glissé le pied et ne va pas la laisser se refermer. Avec l’arrivée de Pat Riley, il va être comme un poisson dans l’eau dans une équipe composée majoritairement de guerriers. A l’instar de feu Anthony Mason, John Starks va profiter des conseils du coach gominé pour atteindre un nouveau palier et s’imposer comme un titulaire, principal lieutenant de Patrick Ewing, chargé de défendre sur le meilleur extérieur adverse tout en allumant les mèches en attaque.

Cette agressivité, c’est sa marque de fabrique. Quand certains ont le talent, lui avait le coeur. Quand d’autres ont la technique, lui avait la rage. Et quand beaucoup étaient à la recherche des dollars, lui avait le basket et New York qui coulaient dans ses veines. Il considérait Big Apple comme les New-Yorkais voient leur ville : unique, exceptionnelle. Le petit gars sorti de nulle part (non, Tulsa n’est pas l’endroit le plus hype des USA) sur qui personne ne misait a fait sa place sur la plus belle scène du basket au monde, le Madison Square Garden. Pas parce qu’il était doué, mais parce qu’il en voulait plus que les autres. Un « American Dream » qui plait toujours autant au pays de l’Oncle Sam. N’oubliant jamais d’où il venait, il n’a cessé d’aborder les matches le couteau entre les dents.

Aujourd’hui, beaucoup de joueurs dans la Ligue ont reçu les acclamations de la foule au lycée et à l’université, peu importe où ils allaient. Je n’ai jamais connu ça. J’étais juste content que quiconque m’applaudisse quand je suis arrivé en NBA. – John Starks.

Un jour, ce n’est pas une personne qui s’est levée pour acclamer John Starks, mais un stade entier. En ce 25 mai 1993, les Knicks ont la possibilité de mener 2-0 face aux Bulls en finale de Conférence Est. Alors qu’il reste moins d’une minute à jouer dans un match serré, l’arrière remonte la balle. Au niveau de la ligne des 3 points, il profite d’un écran « Kevin Garnett » de Patrick Ewing pour prendre le dessus sur B.J. Armstrong. Starks plonge alors vers le cercle, et tandis que Michael Jordan et Horace Grant se dressent devant lui, il s’élève. Repense-t-il à ses débuts à NY quand « The Beast of the East » le scotchait et l’envoyait à l’infirmerie ? Certainement pas, le doute n’a pas sa place dans le jeu du #3. Boum, il fracasse le cercle main gauche, sur le museau de MJ et les goggles de Grant, pourtant deux défenseurs réputés. Le Madison Square Garden exulte, les Bulls sont battus. Mais s’ils perdent cette bataille, ils remporteront une fois de plus la guerre. Dans cette action, Starks a symbolisé une décennie de basket chez les Knicks. Un joueur loin d’être le plus brillant de tous qui met toute son envie au service du collectif. Un travailleur qui dépasse les espérances placées en lui pour imposer le respect. Un pur moment de NBA qui justifie à lui tout seul que John Starks soit dans la légende des Knickerbockers. Une élévation qui n’aurait dû être que l’introduction à un envol encore plus majestueux, celui du numéro 3 floqué du nom « Starks » dans les airs du MSG pour toujours.

A quoi ça tient la postérité ? A une phalange d’Hakeem Olajuwon ? Si le pivot des Rockets n’avait pas touché l’ultime shoot de John Starks lors du Game 6 des Finales NBA en 1994, la question ne se poserait même pas. Avec 3 points supplémentaires, il apportait sur un plateau la victoire aux Knicks au terme d’un match qu’il a pris à son compte. Avec 3 points supplémentaires, il donnait le titre tant attendu à Big Apple. Avec 3 points supplémentaires, il s’évitait la pire rencontre de sa carrière, ce 2/18 lors du Game 7 qui a fait de lui un héros maudit. Avec 3 points supplémentaires, il terminait meilleur marqueur de la série pour New-York et avait l’opportunité d’être MVP des Finales. Avec 3 points supplémentaires, son maillot serait déjà aux côtés de ceux de Walt Frazier, Dick Barnett, Dick McGuire, Earl monroe, Willis Reed, Dave DeBusschere, Bill Bradley et Pat Ewing.

Malgré ces 3 points qui lui manquent tant aujourd’hui, John Starks n’en reste pas moins le joueur des Knicks ayant rentré le plus d’ogives depuis le parking, à faire palier un « Gérard » Smith. Ses 982 réussites de loin sont toujours sur les tablettes et ne vont pas être délogées de si tôt. A cette menace extérieure, il a également ajouté une bonne dose de collectif, puisqu’il est le 8ème meilleur passeur de l’histoire de New York avec 2394 offrandes, et une défense acharnée, comme en attestent ses 711 interceptions, 7ème marque à Gotham. En 8 saisons, il aura apporté 14,1 points à 42,3% dont 34,5 derrière l’arc, 2,7 rebonds, 4,0 assists et 1,2 steal en 28,7 minutes de jeu. Auxquels on peut rajouter du coeur, des tripes et des cojones. Vite, retirons son maillot.

soccer a New York :

Les Red Bulls battent le New York City FC 2-0
HARRISON, États-Unis – Bradley Wright-Phillips et Felipe Martins ont touché la cible, Luis Robles a réalisé trois arrêts et les Red Bulls de New York ont défait le New York City FC 2-0, dimanche.

Wright-Phillips a accepté la remise de Kemar Lawrence avant de marquer d’une frappe de la droite du haut de la surface à la 21e minute.

Felipe a procuré une avance de 2-0 aux Red Bulls à la 85e minute grâce à un tir du côté extérieur.
Robles a frustré Mix Diskerud en début de match et a effectué un arrêt en plongeant à la 70e minute pur signer son sixième jeu blanc de la saison.

Les Red Bulls sont invaincus à leurs cinq dernières rencontres et ont gagné leurs trois duels contre le New York City FC.

New York Mets

http://www.rds.ca/baseball/mlb/mlb-jerry-blevins-des-mets-de-new-york-se-fracture-a-nouveau-le-bras-et-sa-saison-est-terminee-1.2516328

Jerry Blevins se fracture à nouveau le bras

NEW YORK – Le lanceur des Mets de New York Jerry Blevins s’est à nouveau fracturé le bras, en glissant en débarquant d’un trottoir, et il devrait rater le reste de la saison.

Les Mets ont annoncé la nouvelle jeudi, précisant que Blevins allait être opéré à Boston la semaine prochaine au radius qu’il s’était fracturé une première fois le 19 avril dernier, quand il avait été atteint par une balle frappée en flèche.

Blevins avait recommencé à lancer, mais il a chuté lundi.

En sept matchs cette saison, il affichait un dossier de 1-0 et n’avait pas concédé de point en cinq manches de travail.

New York knicks

http://www.basketsession.com/actu/thanasis-antetokounmpo-knicks-3-289572/

Le frère de Giannis Antetokounmpo, Thanasis Antetokounmpo, pourrait évoluer lui aussi en NBA la saison prochaine. Il a signé avec les Knicks.

Les New York Knicks disposent des droits de Thanasis Antetokounmpo depuis l’an dernier, lorsque la franchise de la grosse pomme a sélectionné le frère de Giannis, star prometteuse des Bucks, au second tour de la draft. Le Grec évoluait en D-League la saison dernière et il a participé à la Summer League avec les Knicks cet été, sans séduire. Cela ne devrait pas l’empêcher de se faire une place au sein de l’effectif coaché par Derek Fisher. Selon David Pick, les dirigeants new-yorkais et Thanasis Antetokounmpo ont trouvé un accord sur un contrat partiellement garanti sur deux saisons.

Knicks and Thanasis Antetokounmpo finalizing two-season, partial-guaranteed deal, source said.

— David Pick (@IAmDPick) 5 Août 2015

Thanasis Antetokounmpo est le quinzième joueur de l’effectif. Il sera sans doute en concurrence avec des invités de dernière minute au camp d’entraînement mais il a, à priori, une chance de rejoindre l’équipe et de faire ses débuts en NBA cette saison.

Changements d’équipes, signatures, comebacks, ne manquez aucun des transferts NBA en cliquant ici.

New York : Soccer

http://www.rds.ca/soccer/impact/des-cartons-et-un-verdict-nul-1.2515138

L’Impact et les Red Bulls font un match nul de 1-1

MONTRÉAL – Si l’embauche de Didier Drogba a insufflé un énorme vent d’enthousiasme chez l’Impact, ses nouveaux coéquipiers n’ont pas été en mesure de transposer toute cette énergie positive sur le terrain à leur premier match à domicile depuis l’annonce de son acquisition.

L’Impact a en effet dû se contenter d’un verdict nul de 1-1 contre les Red Bulls de New York, mercredi soir devant 19 213 spectateurs au Stade Saputo. Il s’agit de la plus importante foule pour une rencontre tenue dans l’enceinte de la rue Sherbrooke depuis le début de la saison.

L’attaquant Dominic Oduro a inscrit son sixième but de la campagne – son deuxième en autant de matchs – après un magnifique échange avec Dilly Duka à la 42e minute, mais Lloyd Sam a cependant permis aux Red Bulls de créer rapidement l’égalité au retour de la pause à la 52e.

Très chaleureusement accueilli par les amateurs lorsque présenté vêtu de son maillot bleu au centre du terrain à la mi-temps, Drogba a vu à l’œuvre une équipe qui a montré de beaux flashes par moment, mais qui a néanmoins paru désorganisée la plupart du temps.

L’entrée en scène de l’international costaricain Johan Venegas – obtenu d’Alajuelense plus tôt cette semaine – à la 62e minute n’a pas eu l’effet escompté, tandis que l’expulsion de Laurent Ciman – à la suite de son deuxième carton jaune du match – à la 79e, a sonné le glas de l’Impact.

« Dans l’ensemble, ç’a quand même été un bon match, a nuancé l’entraîneur-chef Frank Klopas. De la façon dont les choses se sont déroulées, nous allons accepter ce point au classement.

« L’absence de Marco Donadel – pour accumulation de cartons jaunes – nous a fait mal. C’est le genre de joueur qui est capable de couvrir énormément de terrain. Ç’a été une grosse perte. »

Victorieux à l’occasion de six de ses sept dernières sorties devant les siens, le onze montréalais totalise maintenant 28 points en 20 rencontres et pointe toujours au sixième rang du classement de l’Est, un point devant Orlando, qui s’est incliné ce soir contre le Toronto FC.

Un revirement qui donne des ailes

Dans la foulée de sa victoire de samedi dernier sur New York City FC, l’Impact semblait vouloir poursuivre sur sa lancée quand Oduro s’est présenté profondément en territoire adverse dès les premiers instants du match, sauf qu’un revirement a ensuite donné des ailes aux Red Bulls.

Les hommes de l’entraîneur-chef Jesse Marsch n’ont cependant pas pu en profiter, Mike Grella ratant la cible après une mise en scène parfaite de Bradley Wright-Phillips. Ce dernier aurait ensuite pu filer fin seul vers le gardien de l’Impact Evan Bush, mais Ciman s’est interposé en sortant la main au dernier moment, ce qui lui a évidemment valu un carton jaune.

Odoru est parvenu à renverser la vapeur à la 29e minute à la suite d’une passe savante d’Andres Romero, mais Luis Robles l’a frustré avec un arrêt du bout des doigts. Oduro a ensuite remis cela à la 40e, sauf qu’il n’a pu remettre le ballon à Duka en raison de l’intervention d’un adversaire. Les deux joueurs montréalais ont cependant eu le dernier mot à la 42e en s’échangeant rapidement le ballon avant qu’Oduro ne marque grâce à une frappe extrêmement puissante.

Les visiteurs ne se sont pas affaissés – bien au contraire – répliquant dès la 52e minute par l’entremise de Lloyd Sam. Les Red Bulls ont par la suite obtenu une belle chance sur un coup de pied arrêté à la 60e, mais Duka a étouffé la menace en interceptant in extremis le ballon.

Klopas a joué avec son effectif en amenant Nigel Reo-Cocker (57e), Venegas (62e) et Bernier (77e), mais cela n’a rien changé au cours de l’histoire. Bernier a été chaudement applaudi à son arrivée sur le terrain, lui dont la femme avait publié un message percutant sur Facebook avant la rencontre. Évidemment, personne au sein de l’Impact n’a voulu commenter l’affaire.

L’équipe devra rapidement tourner la page sur cette histoire, étant donné qu’il disputera son prochain match dès samedi contre les meneurs au classement de l’Est, D.C. United.

basket New York : Les knicks

Kevin Seraphin aux New York Knicks !

Parmi les derniers free agents encore sur le marché, Kevin Seraphin a trouvé son équipe selon Sheridan Hoops. Le pivot français a trouvé un accord avec les New York Knicks pour un an et 2.8 millions de dollars, soit la room exception de l’équipe. Il devrait avoir enfin pas mal de temps de jeu alors qu’aux Wizards il était barré par Marcin Gortat et Nene. Toutefois rappelons que les Knicks ont recruté Robin Lopez cet été.

Seraphin intéressait également les Los Angeles Lakers et les Washington Wizards

❝BREAKING: New York Knicks have agreed to sign Kevin Seraphin to a one-year, $2.8 million deal, a league source tells Sheridan Hoops.

— Michael Scotto (@MikeAScotto) August 4, 2015