Archives de catégorie : Sport

Seahawks – Giants (12-17) : Russell Wilson à l’étouffée

Par Tristan Henry7 décembre 2020

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Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.

Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335737553895514112&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Une défense de fer

Cette série offensive résume à elle seule le match de l’attaque des Seahawks, complètement éteinte par la défense agressive des Giants, mais aussi coupable de nombreuses erreurs. A l’exception de leur premier drive ponctué par un field goal et du touchdown de Chris Carson en milieu de quatrième quart-temps, les joueurs de Pete Carroll sont apparus extrêmement empruntés. Russell Wilson s’est ainsi rendu coupable de deux turnovers gag. Sur le premier, il perd la balle tout seul sur un snap et sur le deuxième, sa passe pour Carson est mal ajustée, même si le running back n’est pas exempt de tout reproche.

Une aubaine pour une défense des Giants toujours aussi dure à jouer. La ligne a su perturber Wilson et la secondary a très bien couvert le duo Metcalf/Lockett, empêchant les Seahawks de mettre en place leurs longues passes. Résultat, Seattle avait à la pause quasiment autant de points en attaque (3) qu’en équipes spéciales (2) : sur un punt contré, les locaux sont à deux doigts d’inscrire un touchdown, mais doivent se contenter d’un safety (5 – 0 à la mi-temps).

En deuxième période, la défense des Giants passe la seconde et mâche le travail de son attaque. D’abord en arrêtant une quatrième tentative dans le camp de Seattle entre les deux touchdowns des Giants, puis sur l’interception de Wilson qui a permis un field goal (17 – 5).

Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335737553895514112&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Une défense de fer

Cette série offensive résume à elle seule le match de l’attaque des Seahawks, complètement éteinte par la défense agressive des Giants, mais aussi coupable de nombreuses erreurs. A l’exception de leur premier drive ponctué par un field goal et du touchdown de Chris Carson en milieu de quatrième quart-temps, les joueurs de Pete Carroll sont apparus extrêmement empruntés. Russell Wilson s’est ainsi rendu coupable de deux turnovers gag. Sur le premier, il perd la balle tout seul sur un snap et sur le deuxième, sa passe pour Carson est mal ajustée, même si le running back n’est pas exempt de tout reproche.

Une aubaine pour une défense des Giants toujours aussi dure à jouer. La ligne a su perturber Wilson et la secondary a très bien couvert le duo Metcalf/Lockett, empêchant les Seahawks de mettre en place leurs longues passes. Résultat, Seattle avait à la pause quasiment autant de points en attaque (3) qu’en équipes spéciales (2) : sur un punt contré, les locaux sont à deux doigts d’inscrire un touchdown, mais doivent se contenter d’un safety (5 – 0 à la mi-temps).

En deuxième période, la défense des Giants passe la seconde et mâche le travail de son attaque. D’abord en arrêtant une quatrième tentative dans le camp de Seattle entre les deux touchdowns des Giants, puis sur l’interception de Wilson qui a permis un field goal (17 – 5).https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335713352916471809&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Un troisième quart-temps de feu

Avec une telle défense, il a suffi de deux drives offensifs de New York pour faire le trou. Après une première mi-temps ponctuée de punts et d’une interception de Quandre Diggs sur une bévue de Evan Engram, les New-yorkais renversent le match en quelques minutes dans le troisième quart-temps. Limités par leur quarterback dans les airs, les Giants s’en remettent à leur ligne et à un duo de coureurs prometteurs.

Wayne Gallman (16 courses par 135 yards) commence par exploser pour une course de 60 yards, et permet à Alfred Morris de conclure avec deux courses de 13, puis de 4 yards (5–8). Le drive suivant, la recette est la même : Gallman ramasse encore 23 yards, et c’est une nouvelle fois Alfred Morris qui termine, cette fois-ci sur une passe de 6 yards (5–14).

New York a tout mis dans ces deux drives et n’obtient plus que deux first downs dans le dernier quart-temps. Suffisant pour confirmer le potentiel d’une équipe qu’il faudra prendre au sérieux dans cette deuxième partie de saison.

Jets – Raiders (28-31) : Derek Carr crucifie New-York au buzzer !

Par Raphaël Masmejean6 décembre 202

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Jets – Raiders (28-31) : Derek Carr crucifie New-York au buzzer ! | Touchdown Actu (NFL Actu) – News, analyses et résultats de la NFL

New-York Jets (0-12) – Las Vegas Raiders (7-5) : 28-31

Incroyable, cruel, palpitant… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier cette fin de match entre les Jets et les Raiders.

Alors que New-York pensait tenir la victoire en stoppant les Raiders sur une 4&3 dans leurs 10 yards à moins de deux minutes de la fin, les Jets ont connu une terrible désillusion en rendant une dernière fois le ballon et en voyant Derek Carr (28/47, 381 yards, 3TD, 1INT) les crucifier à 10 secondes de la fin.

Sur une 3&10, le quarterback des Raiders lance une passe en profondeur pour Henry Ruggs (3rec, 84 yards, 1TD), qui se rattrape alors de plusieurs erreurs en filant vers la end zone pour le touchdown de la victoire (28-31) !

Las Vegas passe donc tout près d’une énorme déconvenue dans la course aux playoffs. Mais l’essentiel est préservé… Pour les Jets, une fois de plus c’est un match à l’image de Sam Darnold (14/23, 186 yards, 2TD, 1INT).

Dr Jekyll, M. Hyde

En première mi-temps on a de nouveau le droit au meilleur et au pire de Sam Darnold… Sur ses trois premières séries, le jeune quarterback est propre et envoie même par deux fois Jamison Crowder (5rec, 47 yards, 2TD) au touchdown. Les deux drives font près de 70 yards et laissent présager le meilleur. D’autant plus qu’entre temps, les Raiders sont plus lents au démarrage avec une interception et un touchdown lancé par Derek Carr pour Daren Waller (13-7).

Sauf que la situation se complique… Le quarterback des Jets enchaîne 3 pertes de balles : deux sur des fumbles venant de sack et l’un sur interception. Des turnovers qui permettent aux Raiders de renverser la table en marquant des points après ceux-ci. D’abord sur field goal puis sur une nouvelle combinaison entre Carr et Waller (13rec, 200 yards, 2TD) pour passer enfin devant au score (13-17) pour la première fois du match.

New-York Jets (0-12) – Las Vegas Raiders (7-5) : 28-31

Incroyable, cruel, palpitant… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier cette fin de match entre les Jets et les Raiders.

Alors que New-York pensait tenir la victoire en stoppant les Raiders sur une 4&3 dans leurs 10 yards à moins de deux minutes de la fin, les Jets ont connu une terrible désillusion en rendant une dernière fois le ballon et en voyant Derek Carr (28/47, 381 yards, 3TD, 1INT) les crucifier à 10 secondes de la fin.

Sur une 3&10, le quarterback des Raiders lance une passe en profondeur pour Henry Ruggs (3rec, 84 yards, 1TD), qui se rattrape alors de plusieurs erreurs en filant vers la end zone pour le touchdown de la victoire (28-31) !https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=false&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335693564697776128&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246824%2Fjets-raiders-28-31-derek-carr-crucifie-new-york-au-buzzer%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Las Vegas passe donc tout près d’une énorme déconvenue dans la course aux playoffs. Mais l’essentiel est préservé… Pour les Jets, une fois de plus c’est un match à l’image de Sam Darnold (14/23, 186 yards, 2TD, 1INT).

Dr Jekyll, M. Hyde

En première mi-temps on a de nouveau le droit au meilleur et au pire de Sam Darnold… Sur ses trois premières séries, le jeune quarterback est propre et envoie même par deux fois Jamison Crowder (5rec, 47 yards, 2TD) au touchdown. Les deux drives font près de 70 yards et laissent présager le meilleur. D’autant plus qu’entre temps, les Raiders sont plus lents au démarrage avec une interception et un touchdown lancé par Derek Carr pour Daren Waller (13-7).

Sauf que la situation se complique… Le quarterback des Jets enchaîne 3 pertes de balles : deux sur des fumbles venant de sack et l’un sur interception. Des turnovers qui permettent aux Raiders de renverser la table en marquant des points après ceux-ci. D’abord sur field goal puis sur une nouvelle combinaison entre Carr et Waller (13rec, 200 yards, 2TD) pour passer enfin devant au score (13-17) pour la première fois du match.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=false&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335665610613657600&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246824%2Fjets-raiders-28-31-derek-carr-crucifie-new-york-au-buzzer%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Fort de cet avantage pris juste avant la pause, Las Vegas confirme d’entrée de jeu en seconde mi-temps. Après plus de 7 minutes de possession, les visiteurs finissent par trouver la zone d’en-but sur une courte course de leur quarterback. Un passage dans l’endzone qui permet aux Raiders de mener 24 à 13.

Courir pour la victoire

Après plusieurs punts, ce sont les Jets et surtout leur jeu au sol (206 yards ce soir) qui relance l’équipe. En attaque, les locaux remontent 96 yards dont 85 à la course pour revenir à 21-24 à 10 minutes de la fin du match.

Suite à un fumble de Ruggs, les Jets enchaînent de nouveaux les courses et repassent alors en tête (28-24) quand Ty Johnson (22 courses, 104 yards, 1TD) entre dans l’endzone. Les New-Yorkais n’ont besoin de tenir que 5 minutes pour l’emporter.

Et les locaux y croient longtemps, jusqu’à cette dernière passe létale de Dereak Carr.

Frank Ntilikina raconte son quotidien face aux rumeurs

5 décembre 2020, 13:55 par BasketActu

Frank Ntilikina raconte son quotidien face aux rumeurs – BasketActu.com

Depuis son arrivée en NBA, Frank Ntilikina a du mal à s’imposer aux New York Knicks. Loin d’être aidé par l’instabilité de sa franchise, le jeune talent français n’a pas encore réussi à s’affirmer comme un membre important de la reconstruction de cette équipe.

Et en raison de ses performances mitigées, le #8 pick de la Draft NBA 2017 a été souvent mentionné dans les rumeurs. A plusieurs reprises, son nom a été évoqué au sein d’un trade. Et les bruits de couloir risquent de continuer en raison de la situation contractuelle du meneur (agent libre protégé en 2021).

Mais de son côté, Ntilikina a désormais appris à vivre avec cette incertitude concernant son avenir.

« Mon contrat ? Je pense que la partie business va se régler d’elle-même. Moi, je suis ici pour m’améliorer chaque jour. Pour permettre à l’équipe de s’améliorer. Les rumeurs ? J’en ai bien évidemment entendu parler.

Ça fait un moment désormais, très longtemps même. Je ne sais pas vraiment. Je suis ici. Et je suis heureux d’être un Knick. Je travaille chaque jour pour représenter cette équipe du mieux que je peux. Et je suis vraiment heureux d’être ici », a ainsi assuré Frank Ntilikina pour le New York Post.

Cette saison s’annonce importante dans la jeune carrière de Frank Ntilikina. Après ses débuts moyens, il a une vraie chance de lancer son aventure en NBA. Car avec son profil défensif et son talent, le Français peut totalement correspondre au projet de son entraîneur Tom Thibodeau à New York. A lui donc de saisir sa chance…
Crédit photo : Ann-Dee Lamour

Austin Rivers veut changer l’image négative des Knicks

Ravi d’évoluer à New York, l’arrière veut démontrer que la franchise va dans la bonne direction et peut attirer des grands noms.

pour lire l’article : Austin Rivers veut changer l’image négative des Knicks | Basket USA

Par Jonathan Demay

Après Doc dans les années 1990 (99 matches entre 1993 et 1994), c’est un nouveau Rivers qui va porter le maillot des Knicks puisque Austin a rejoint la franchise de New York la semaine dernière.

Sauf que si Doc Rivers a évolué dans la grande équipe de New York, finaliste en 1994 et qui livrait des batailles mémorables en playoffs face aux Bulls ou encore aux Pacers, Austin, lui, débarque dans une formation très jeune et qui peine à exister depuis quelques années. Les playoffs fuient ainsi New York depuis 2013…

Un constat qui n’a pas dérangé l’arrière, qui au contraire semble galvanisé par le défi et le contexte qui entourent « The Big Apple ».

« On est dans une époque où tout le monde veut surfer sur la vague et jouer dans des franchises où tout va bien », constate Austin Rivers au New York Post« Les gens ont perdu l’envie de redorer le blason d’une équipe. Je ne comprends pas que certains ne veuillent pas jouer dans une ville comme New York. Vraiment, je ne vois pas. C’était évident pour moi : on parle de la Mecque du basket, avec des fans singuliers. Donc pourquoi ne pas faire partie de quelque chose d’unique ? »

Peut-être parce que les ambitions sportives et les perspectives de playoffs des Knicks sont encore faibles ?

« Ils vont dans la bonne direction : du coach aux dirigeants, aux joueurs qu’ils ont draftés », répond le fils de Doc. « C’est facile d’aller dans une équipe qui joue les playoffs depuis quatre ou cinq ans. J’ai connu ça, ce sont des excellentes expériences mais je veux justement les utiliser pour aider cette franchise. On doit changer la dynamique autour des Knicks, celle qui dit que les joueurs ne veulent pas venir. »

Les stars qui ont testé le marché de la « free agency » depuis plusieurs années ont à chaque fois snobé les Knicks.

Kevin Durant et Kyrie Irving ont même préféré Brooklyn en 2019. Austin Rivers peut bien parler du Madison Square Garden, de la ville et du mode de vie new-yorkais, il est conscient que sans des saisons réussies sur les parquets, les arguments extra-sportifs des Knicks resteront très courts pour séduire les meilleurs joueurs du monde.

« On est là pour ça, pour gagner. Allons-nous remporter le titre cette année ? Je ne sais pas. Néanmoins, on doit construire dans la bonne direction. On n’a pas quatre ou cinq All-Stars dans ce groupe, ni de superstars. On a des jeunes et on doit rendre la franchise attractive. On doit être compétitif. Cela doit devenir notre principal avantage : on doit jouer plus dur que les autres équipes. »

En Toute Franchise : Les New-York Yankees

Publié le  par Martin Keuchel

Pr écouter l’article : En Toute Franchise : Les New-York Yankees (thestrikeoutfrance.com)

En ces temps tristes et confinés, il fallait bien une petite lueur d’espoir pour faire tenir le cœur des afficionados de petite balle blanche. Du coup avec la Team TSO, on a décidé de se retrousser les manches et de vous présenter notre nouvelle création : En Toute Franchise. Dans cette nouvelle série de podcast, l’équipe vous emmènera à la découverte des 30 franchises de MLB afin que vous puissiez (re)découvrir leurs histoires, leurs grands hommes mais aussi leurs impacts sur le baseball, sur le Sports Us voir même sur la culture américaine. Qui sait vous pourriez même découvrir votre nouvelle franchise préférée. Et pour commencer En Toute Franchise, on était obligé de débuter par la plus mythique de toute les équipes : Les New-York Yankees.

Un club plus que centenaire, 27 bagues, 21 numéros retirés et surtout une référence dans le monde du baseball mais également dans l’univers du Sport US et surtout une icône des Etats-Unis, les New-York Yankees est l’équipe la plus mythique de la MLB. Poour accompagner Martin dans ce premier numéro de En Toute Franchise, on accueille Gaetan, membre éminent de TSO, de la communauté francophone mais aussi CM de Yankees France, qui va se faire un plaisir de vous présenter sur un plateau d’argent sa franchise préférée : Les New-York Yankees.

N’hésitez pas à nous faire vos retours sur notre émission, en réagissant sur nos réseaux sociaux. On se fera un plaisir de vous lire. Bonne écoute !!

New York Knicks 2020-2021 : encore et toujours en pleine reconstruction

À lire sur : https://www.insidebasket.com/actu/saison-2020-2021-new-york-knicks.html

New York Knicks 2020-2021 : encore et toujours en pleine reconstruction

À lire sur : https://www.insidebasket.com/actu/saison-2020-2021-new-york-knicks.html

Paulin Pineau 26/11/2020 à 12h00

À lire sur : https://www.insidebasket.com/actu/saison-2020-2021-new-york-knicks.htm

Les Knicks semblent, pour l’instant, ne pas avoir fait d’erreur dans leur recrutement, cela marque-t-il enfin le début d’un réel renouveau ? Une chose est sûre, les fans des Knicks vont encore devoir faire preuve de patience.

À lire sur : https://www.insidebasket.com/actu/saison-2020-2021-new-york-knicks.html

Les Knicks de New York se sont positionnés à la 12ème place de la conférence est lors de cette dernière saison, affichant 21 victoires pour 45 défaites, bilan plus que mitigé et toujours pas suffisant pour proposer et entrainer un réel engouement autour de leur franchise. Il faut dire que leur situation n’est clairement pas évidente et est très compliqué ces dernières années, on se rappelle tous de l’intersaison précédent cette saison 2019-2020, où les Knicks s’attendaient à drafter Zion Williamson (qui est finalement tombé dans les filets des Pelicans de la Nouvelle-Orléans) mais aussi à recruter Kyrie Irving et un certain Kevin Durant, qui finalement se sont vus atterir chez leurs voisins ; les Nets de Brooklyn. Cet espoir de renouveau et la vision d’un trophée de champion NBA se sont finalement écroulés pour le plus grand malheur des fans des Knicks, qui ne sont clairement pas les plus gatés en NBA. En outre, ils nous ont encore montré la difficulté affrontée cette année, notamment avec le licenciement du coach David Fizdale le 6 décembre dernier, clairement synonyme de réel problème au sein de l’équipe. On lui reprochait notamment de priver Frank Ntilikina de précieuses minutes. Il faut avouer que cette alliance de Fizdale avec NYC n’a et n’aurait jamais fonctionné. Suite à ce départ, ils ont poursuivit la saison en faisant de leur mieux, même si leur effectif ne leur permettaient clairement pas d’aller accrocher certaines grosses équipes et de s’immiscer au sein des Playoffs. De plus, le départ chez les Clippers en cours de saison de leur marqueur le plus prolifique Marcus Morris n’a clairement pas aidé. Cependant, le trio Ntilikina-Barrett-Robinson a proposé de très belles choses au cours de cette saison, et c’est peut-être autour de ces jeunes joueurs qu’il sera nécessaire de reconstruire si New York souhaite réellement devenir une franchise compétitive dans le futur et ENFIN régaler leurs fans.   LES MOUVEMENTS DE L’INTERSAISON   Arrivées : Free agency : Austin Rivers (Houston Rockets), Nerlens Noel (Oklahoma City Thunder), Alec Burks (Philadelphia Sixers), Myles Powell (Université de Seton Hall) Trade : Omari Spellmann (Minnesota Timberwolves), Jacob Evans (Minnesota Timberwolves) Draft : Obi Toppin (8ème choix de la Draft 2020), Immanuel Quickley (25ème choix de la Draft 2020)   Départs :  Free agency : Damyean Dotson (Cleveland Cavaliers), Moe Harkless (Miami Heat), Wayne Ellington (Detroit Pistons), Bobby Portis (Milwaukee Bucks) Trade : Ed Davis (Minnesota Timberwolves) Waived : Taj Gibson, Allonzo Trier   L’EFFECTIF   Meneurs : Elfrid Payton, Frank Ntilikina, Denis Smith Jr, Myles Powell Arrières : RJ Barrett, Austin Rivers, Alec Burks, Immanuel Quickley, Jacob Evans Ailiers : Kevin Knox, Iggy Brazdeikis, Reggie Bullock, Alec Burks Ailiers forts : Julius Randle, Obi Toppin Pivots : Mitchell Robinson, Nerlens Noel, Omari Spellmann Two-way : Theo Pinson, Jared Harper   LE CINQ MAJEUR   Frank Ntilikina (PG) – RJ Barrett (SG) – Kevin Knox (SF) – Julius Randle (PF) – Mitchell Robinson (C)   Frank Ntilikina a vraiment sa carte à jouer et il a l’occasion de se démarquer des autres meneurs de cette équipe, il peut tirer son épingle du jeu. Il a le talent et le potentiel pour devenir le meneur titulaire et un des meilleures scoreurs et passeurs de cette équipe. En effet, il a prouvé à mainte reprise qu’il était un excellent joueur des deux côtés du terrain, c’est un très bon défenseur, on pourrait le définir comme un agresseur, un bulldog qui ne lâche rien et qui va se battre pour intercepter et récupérer des ballons. Il a seulement besoin qu’on lui fasse confiance pour que ce dernier puisse réellement exploser et s’épanouir au sein de cette équipe de New York. Il peut clairement devenir une des figures importantes et emblématiques de BIG Apple dans le futur, c’est en tout cas ce que l’on souhaite au French Prince.   Il sera de plus accompagné par RJ Barrett, 3ème choix de la draft 2019, il est sans doute le joueur avec la palette offensive la plus développée de tous l’effectif, capable de shooter, driver, dunker, il sait tout faire ! Le canadien peut lui aussi se forger une image et devenir le leader de cette team. On le définit comme le futur franchise player de New York et, dans le futur, peut-être que le backcourt Ntilikina/Barrett sera le meilleur de toute la NBA ! En tout cas, avec Thibodeau à la tête des Knicks la saison prochaine, ce duo ne peut que progresser individuellement et collectivement.   Pour le poste 3, c’est Kevin Knox qui s’en chargera. Certes, ce joueur a beaucoup fait polémique ces dernières années, considéré comme n’étant pas à la hauteur des attentes et des responsabilités confiées, mais l’heure en est au renouveau ! C’est donc le bon moment pour Knox de se réveiller et de montrer l’ampleur de son talent afin de tenter de faire revivre le Madison Square Garden. Si Knox se révèle enfin au grand jour, l’équipe de New York commencerait certainement à devenir inquiétante. Effectivement, si tout le potentiel de cette équipe est exploité par Thibodeau comme il se doit et si chaque joueur arrive à émerger, alors les Knicks seront capables de grandes choses.   Potentiel toujous présent au poste 4 avec Julius Randle, qui est un joueur expérimenté et très doué, il a été capable à plusieurs reprises la saison passée de scorer plus de 30 points. Cela montre qu’avec de l’exercice et de l’entrainement, il pourrait devenir un des meilleurs joueurs à son poste et pourquoi pas devenir un joueur all-star. Et il est évident qu’il a le calibre, le talent et la mentalité pour réaliser ceci.   Au poste de pivot, on a LA révélation de cette dernière saison : Mitchell Robinson. Il est tout simplement le joueur le plus efficace de toute la NBA, cela montre et souligne l’excellent réalisme de ce joueur, qui a su présenter un jeu très agréable, fluide, et une connexion très présente avec ses meneurs. Il est sans aucun doute le joueur avec la plus grosse marge de progression de l’effectif new-yorkais. Il est certe déjà très bon, mais il pourrait s’imposer dans la NBA comme le futur pivot moderne and The Best One. Ajoutez lui un shoot, un physique monstrueux, et vous obtenez un des meilleurs joueurs de la NBA, capable de contrer à plusieurs reprises dans un même match, de scorer environ 20 points dans la peinture à chaque match, et d’exterminer chaque joueur se trouvant en face de lui sur son passage. Quand on entend ça, la seule pensée qui nous traverse l’esprit c’est celle de pouvoir assister à ses démonstrations et au match de New-York. Honnêtement, en analysant ces différents joueurs, on se rend compte de l’immensité du talent que ce 5 est capable de revendre. Avec de l’acharnement à chaque entrainement et une envie permanente à chaque match, on réalise que New York peut réussir, dans le futur, à s’imposer comme une excellente équipe dans le futur. Sans oublier tous les autres atouts se trouvant sur le banc comme un certain Obi Toppin par exemple, très bonne pioche pour les Knicks lors de cette draft 2020.   LE BANC   Transition toute trouvée, nous allons désormais aborder le banc de New York, lui aussi très complet. Tout d’abord, comme précédemment évoqué, l’arrivée d’Obi Toppin au sein de cette franchise va permettre de redorer le blason de celle-ci. Celui-ci affiche 20 points de moyenne sur sa saison passée à Dayton, il ne peut donc qu’être un apport très intéressant au sein de l’effectif de NYC. Il doit cependant impérativement travailler sur sa défense, énorme problème pour lui, et c’est ce qui pourrait lui nuire.    On retrouve aussi Elfrid Payton, d’abord coupé puis resigné 2 jours après par le staff de New York. Il a lui aussi montré des choses intéressantes lors de la saison 2019-2020 et a montré qu’il était capable de mener une équipe et d’organiser correctement le jeu. On retrouve également Dennis Smith Jr, autrement appelé l’explosivité même. En effet, ce joueur possède des capacités athlétiques invraisemblables et est, grâce à cela, capable de faire la différence sur un terrain, il est de plus doté d’une certaine habilité à scorer, son profil est donc fiable et il est évident qu’il peut apporter énormément en sortie de banc, il a le potentiel pour débloquer une situation a lui tout seul et de plus, grâce à ses qualités athlétiques extraordinaires, il est un des joueurs pouvant enflammer le Madison Square Garden en deux ou trois mouvements, finissant accroché au cercle après avoir posterisé son adversaire. On a donc deux meneurs capable d’apporter du scoring et capable d’organiser le jeu à bon escient.   Du côté du poste 2 et 3, le talent est certe moindre sur le banc, mais de bons éléments sont tout de mêmes présents. Notamment un certain Austin Rivers, qui va sans doute surprendre plus d’un fan de NBA lorsqu’il inscrira 40 points au Madison Square Garden avec 8/8 trois points marqués. Comme on l’a vu dans la bulle d’Orlando avec les Rockets, il est facilement capable de prendre feu afin d’inscire plus de 40 points, et cela ne peut être que positif pour New York. De plus, il deviendra sans doute, au cours de la saison, le 6ème homme de cette équipe si ses prestations le permettent, ou qui sait, titulaire dans le cinq majeur. En outre, les nouvelles recrues tels que Alec Burks ou encore Immanuel Quickley au sein de cet effectif ne peuvent qu’être bénéfiques pour les Knicks étant donné que posséder de nouveaux shooters dans son roster, ça ne fait de mal à personne. Ce type de joueur qui fonctionne là plupart du temps en catch and shoot peut vite s’enflammer et finir un match à 5/5 à trois points, c’est clairement le profil que ces deux joueurs ont à revendre.   Pour finir, en ce qui concerne les postes d’intérieurs, la présence de Nerlens Noel et Omari Spellmann peut réellement faire du bien et soulager Julius Randle, Mitchell Robinson ou encore Obi Toppin. Ces joueurs sont capables d’impacter le jeu et leur mindset permet de leur donner une fiabilité totale, c’est-à-dire que le coach et le staff savent très bien qu’ils peuvent compter sur eux et que ces derniers rentreront dans le match avec une envie impressionante et une agressivité surpuissante.   Plus on discute de cette team, plus, encore une fois, on prend conscience de la régularité et de la complémentarité de ce roster. Cet effectif regorge de talent et surtout de pure produit du basketball américain et universitaire, rappelons que les Knicks possèdent quatres produits de l’université de Kentucky désormais. Avec une touche européenne apportée par Ntilikina et Brazdeikis, on fait face à une équipe, certes intriguante, mais plutôt intéressante et bourrée de talents !   LE JOUEUR QU’IL VA FALLOIR SURVEILLER – RJ BARRETT   Et oui, malgré la présence de nombreuses stars potentiels et d’un nombre de joueurs talentueux incalculables, on choisit RJ Barrett comme joueur à surveiller étant donné qu’il va entamer sa deuxième saison en NBA, ce qui signifie qu’il a déjà pu prendre conscience de ce à quoi il devait faire face. Et honnêtement, il est évident qu’il va revenir dès le 22 décembre regonflé à bloc pour montrer de quoi il est capable, c’est-à-dire montrer qu’il peut prendre l’ascendant et prendre le match à son compte en affichant des statistiques ahurissantes. Il est sans doute le joueur dont la place dans l’effectif n’est pas menacée étant donné l’avenir radieux qui lui est réservé et le basket qu’il est capable de délivrer. De plus, l’arrivée de Tom Thibodeau comme nouveau coach de New York va lui permettre d’expérimenter un nouveau cadre. On connaît l’excellente capacité de Coach Thib pour former les jeunes joueurs afin de les faire parvenir au meilleur niveau possible. Si on vous dit Bulls, 2011, Derrick Rose, vous comprenez tout de suite de quoi l’on veut parler, il a tout de même été nommé Coach of the year. Sachant que Barrett n’a pas réellement explosé la saison dernière comme un Ja Morant a pu le faire par exemple, il est probable qu’il se libère, qu’il exprime l’entiereté de son potentiel et qu’il veuille qu’on mette du respect sur son nom ! C’est la raison pour laquelle il est notre joueur à surveiller.    LES PLUS   La jeunesse : c’est une équipe très jeune qui ne peut donc qu’évoluer positivement et créer un collectif et une ambiance familiale, comme des Lakers ont pu réussir à créer par exemple. C’est finalement une cohésion d’équipe (parsemé de talent évidemment) qui permet une ascension vers le titre.   Le coach : pas besoin d’épiloguer, même si Tom Thibodeau a connu des périodes difficiles ces dernières années, New York semble être une équipe comme il les aime ;  pleine de potentiel qui ne peut que gravir les échelons. Nous aurons peut être droit à un remake de sa saison de 2011 dans le futur…   LES MOINS   Tout n’est pas tout beau tout blanc : il est clair que New York a énormément de boulot devant elle pour devenir une franchise prétendante au titre de champion NBA, il faudrait déjà pour cela atteindre les playoffs, ce qui, sauf une agréable surprise, ne risque pas d’arrivée de sitôt. Le poste 2 et 3 : certes New York possèdent de nombreux meneurs de jeu et de nombreux intérieurs, mais en ce qui concerne les ailiers, le choix est plutôt limité, ils n’ont pas assez d’armes offensives expérimentés pour pouvoir réellement provoquer un impact conséquent lors d’une saison. Le manque de superstars : ils n’ont pas un seul joueur all-star dans leur équipe, ce qui est très problématique lorsque l’enjeu de la compétition est de parvenir à décrocher un titre.   BILAN PRÉVISIONNEL   27 victoires – 45 défaites (12 ème de la conférence Est)   L’AVIS DE LA RÉDACTION   Le fait que durant cette intersaison le staff des Knicks ne s’est pas précipité (à l’heure où l’on vous parle) comme ils auraient pu le faire les saisons précédentes et une bonne chose. Ils ont simplement recruté des profils intéressants afin de pouvoir continuer correctement leur reconstruction. Leur but est clairement d’être focus sur l’avenir de la franchise, créer petit à petit une équipe compétitive capable de se positionner sur le devant de la scène et de se montrer supérieur aux 29 autres franchises. Challenge compliqué, mais pas impossible. Notre souhait est donc de voir les Knicks, au fur et à mesure, s’imposer comme une équipe favorite au titre de champion NBA, pour le bonheur de leurs fans et du public du Madison Square Garden. L’ambiance là-bas si les Knicks venaient à décrocher le trophée de champion NBA serait clairement FANTASTIQUE.

À lire sur : https://www.insidebasket.com/actu/saison-2020-2021-new-york-knicks.html

Aaron Brooks revient en NBA en tant que scout pour les « two-way contract » des Knicks

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Aaron Brooks revient en NBA en tant que scout pour les « two-way contract » des Knicks | Basket USA

Ancien meneur NBA, notamment nommé MIP en 2010, Aaron Brooks devient le premier assistant coach de la Ligue spécialement dédié aux « two-way contract ». Ce sera avec les Knicks.

Ancienne rotation des Bulls puis des Wolves, sous Tom Thibodeau, Aaron Brooks a visiblement gardé un lien particulièrement fort avec le technicien puisque le nouvel entraîneur en chef des Knicks vient tout simplement de créer un poste pour le meneur néo-retraité, après une dernière pige en Australie.

Selon le New York Post, Aaron Brooks devient le huitième assistant de Thibs, mais surtout le premier « two-way liaison » de la ligue, ce qui veut dire qu’il s’occupera essentiellement de suivre les joueurs en « two-way contract » de la franchise, en l’occurrence, Jared Harper et Theo Pinson.

Avec la situation sanitaire, et la pandémie irrésolue, la G-League ne va pas connaître une saison normale, loin de là. Aaron Brooks aura donc pour mission d’encadrer ces deux jeunes joueurs dans un contexte compliqué par le Covid 19, sachant qu’ils n’ont contractuellement droit qu’à 50 matchs en NBA.

Ancien d’Oregon, Aaron Brooks s’était déjà préparé à cette reconversion dans le Minnesota, déjà sous la houlette de Tom Thibodeau. À New York, il va aussi retrouver son ancien assistant coach des Ducks, un certain Kenny Payne.Par Emmanuel Laurin

Les Knicks vont finir derniers cette saison… selon les bookmakers

Les pronostics des bookmakers de Vegas sont sortis. Disons que l’optimisme n’est pas de mise pour les Knicks et c’est un euphémisme.

Les Knicks vont finir derniers cette saison… selon les bookmakers (basketsession.com)

Les New York Knicks vont vivre leur première saison avec Tom Thibodeau comme head coach et Leon Rose comme président des opérations basket. Malgré ces changements et une tentative de stratégie patiente et pas trop dépensière, la franchise de Big Apple n’inspirent toujours pas confiance. En tout cas en ce qui concerne les bookmakers américains de Las Vegas, centre névralgique des paris sportifs aux Etats-Unis.

Ces derniers ont dévoilé leur bilan prévisionnel de victoires – ou en tout cas la ligne sur laquelle parier (au-dessus ou en dessous) pour leurs clients – pour chaque équipe cette semaine, à un peu moins d’un mois du début de la saison 2021. Bons derniers, à égalité avec les Cleveland Cavaliers, on retrouve donc les Knicks, crédités d’une probabilité de 22,5 victoires pour 50 défaites (la saison a été réduite à 72 matches) en saison régulière.

En tête, on retrouve les Milwaukee Bucks (50.5), devant les Los Angeles Lakers (47.5) et un tandem composé des Boston Celtics et des Los Angeles Clippers (46.5). Les Brooklyn Nets, 5e (45.5), font leur apparition dans le top 5 grâce aux débuts du tandem Kevin Durant et Kyrie Irving. Au rayon des cagades pressenties, on retrouve par exemple les Warriors seulement 16e (36.5), Houston 18e (35.5) ou San Antonio, attendu avec le 24e bilan de la ligue (28.5), ou le Thunder, 28e (23.5).

Dans quelques jours, Vegas dévoilera ses cotes pour le titre. On y retrouvera, sauf grosse surprise, les Los Angeles Lakers en grands favoris à leur propre succession après leur free agency active et a priori réussie.