Archives mensuelles : mai 2022

1 jour 1 chanson Emma Lazarus : Lady of the harbor

Lady of the Harbor – YouTube

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Emma Lazarus (22 juillet 1849 – 19 novembre 1887) était une auteure américaine de poésie, de prose et de traductions, ainsi qu’une militante pour les causes juives et georgistes. On se souvient d’elle pour avoir écrit le sonnet « The New Colossus » en 1883. [1] Ses lignes apparaissent inscrites sur une plaque de bronze, installée en 1903[2], sur le piédestal de la Statue de la Liberté[3] Les dernières lignes du sonnet ont été mises en musique par Irving Berlin comme la chanson « Give Me Your Tired, Your Poor » pour la comédie musicale de 1949 Miss Liberty, qui était basée sur la sculpture de la Statue de la Liberté (Liberty Enlightening the World). La dernière partie du sonnet a également été définie par Lee Hoiby dans sa chanson « The Lady of the Harbor » écrite en 1985 dans le cadre de son cycle de chansons « Three Women ».

Lazare est également l’auteur de Poems and Translations (New York, 1867) ; Admetus, et autres poèmes (1871); Alide: An Episode of Goethe’s Life (Philadelphie, 1874); Poèmes et ballades de Heine (New York, 1881); Poèmes, 2 vol.Narratif, lyrique et dramatique; ainsi que des poèmes et des traductions juifs[4]

1 jour 1 chanson Daniel Lavoie : Je voudrais voir New York

Qui ne veut pas voir New York

Daniel Lavoie – Je voudrais voir New York (Embarquement immédiat, 1987) – YouTube

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Paroles

Je n’ai jamais vu New York, j’ai souvent New York dans la tête
Je n’ai jamais vu Rio, qu’un pain de sucre sur les cartes photos
Je n’ai jamais vu Bangkok, mais sur tes lèvres, y a des parfums de Chine
Je n’ai jamais vu New York

Je n’ai jamais vu Delhi, mais j’ai rêvé aux plaines d’Ukraine
Je n’ai jamais vu Bali, comme une flûte qui hante lointaine
Je n’ai jamais vu Djara, mais y a du Sahara dans ton souffle
Je n’ai jamais vu New York

Coule-moi, coule-moi au fond de toi
Coule-moi que je vois le feu qui brûle en toi

Je n’ai jamais vu Rio
Je ne voyage qu’en mappemonde
Je n’ai jamais vu Djara, mais dans ma tête, y a un lion qui gronde
Je voudrais voir New York

Et maintenant, il y a beaucoup plus de gens qu’avant
Imaginez si juste la moitié voulait devenir président
Des milliards de bouches à nourrir
Des milliards de besoins, de désirs
Ça prendra énormément de bois, des tonnes d’acier, de verre, de cuivre
Il faudra un jour légiférer sur ce droit que nous avons tous de se réaliser
Quelques rêves se réalisent, la plupart sont oubliés
Trop peu de gens ont même des valises pour rêver de voyager

Coule-moi, coule-moi au fond de toi
Coule-moi que je vois le feu qui brûle en toi
Je n’ai jamais vu Rio
Je ne voyage qu’en mappemonde
Je n’ai jamais vu Djara, mais dans ma tête, y a un lion qui gronde
Je voudrais voir New York

Auteurs-compositeurs : Lavoie Daniel G, Lelievre Sylvain, Sechan Thierry Olivier
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

1 jour 1 chanson Bernard Lavilliers Rock city

Je contninue avec notre stéphanois

Bernard Lavilliers – Rock City – YouTube

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Paroles

Téléphone de la cabine
J’te présenterai ma frangine cocaïne
Viens becqueter dans ma cuisine
Tu goûteras à ma copine protéine

Si tu swing dans le timing
T’auras droit aux multi-vitamines

Si tu es dans la détresse
J’te présenterai une gonzesse qui caresse
Qui t’fait cracher tes dollars
À peu près comme un tubard ses kleenex

Si t’es pas dans le tempo
Elle t’éponge, et puis ciao, ça presse

New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York

Si t’es bien venu pour la frime
J’te prêterai ma limousine avec piscine
Cheminée, bar et mousseline
Avec un bas de soie noir d’Marilyn

Le dentier du président
Le Watergate du précédent, en sourdine

Si tu veux du sentiment
On n’en a plus pour l’instant dans le stock
On peut t’vendre quelques missiles
Vietnamiens avec leurs cibles d’un seul bloc

Tu ne veux pas t’emmerder
Même tout seul, dans la cité du rock

New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York

Téléphone de la cabine
J’te présenterai ma frangine cocaïne
Viens becqueter dans ma cuisine
Tu goûteras à ma copine protéine

Si tu swing dans le timing
T’auras le droit aux multi-vitamines

Je téléphone de la détresse
Il n’y avait plus de gonzesse dans le stock
Hamburger dans la cabine
J’peux pas payer la frangine cocaïne

On m’a jeté d’la limousine
J’ai pas droit aux multivitamines

New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York

New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York

Auteurs-compositeurs : Bernard Lavilliers
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

1 jour 1 chanson Bernard Lavilliers : Brooklyn

Leplus New yorkais des Stéphanois

Bernard Lavilliers – Brooklyn – YouTube

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Paroles

C’est pas le paradis
Il y a du parfum dans l’air
Et puis de vrais amis
Qui font tourner les verres

Je ne peux pas sortir d’ici
Avant de trouver la rime
Que me fait passer mes nuits
Dans ce bar de Brooklyn

C’est près de Manhattan
Mais c’est tellement ailleurs
Que le temps se pavane
Avec d’autres couleurs

Il y a un juif arménien
Qui parle de Caruso
Avec un brésilien
Qui se tape un rizotto

Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
De longs nuages partent en voyages
Juste au-dessus des toits dans un nuage juste au passage
Un souvenir de toi

Et la rivière fuit
Sous les ombres du pont
Et ton visage aussi
Il me reste ton nom

Cette ville horizontale
Cette femme allongée
Cette lumière verticale
Ce souffle de rosée

Le jour ou tu viendras
T’installer à Brooklyn
Je sais que tu comprendras
Cette ville est ma frangine
Cette ville est ma frangine

Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea…

Auteurs-compositeurs : Bernard Lavilliers, Mino Cinelu
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

1 jour 1 chanson : Francis Lai : Skating in Centra park Francis Lai : Skating in Centra park

Venez pleure à Central Park. Une musique, un film : Oliver Barret IV et Jenny Cavilleri se sont rencontrés à l’Université. Il était riche, elle était pauvre. Il jouait au hockey sur glace dans l’équipe de Harvard, elle jouait du piano à la Bach Society. Ils se sont aimés. Ils se sont mariés. Ils avaient décidé d’appeler leur premier enfant Bozo…
C’est l’histoire, dans l’Amérique de 1970, de deux êtres jeunes, véritablement unis « pour le meilleur et pour le pire » ; une histoire simple comme l’eau qui coule, drôle comme la vie dès que l’on est deux pour en rire, pathétique comme toutes les destinées humaines ; une histoire d’amour qui parle au cœur de toute une génération.

francis lai-skating in central park – YouTube

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Dans les aéroports new-yorkais, on peut payer jusqu’à 27,85 dollars la bière !

pour boire une bière c’est ii

Dans les aéroports new-yorkais, on peut payer jusqu’à 27,85 dollars la bière ! – Geo.fr

27 $ la bière ? Non, vous ne rêvez pas, c’est bien le prix demandé pour une mousse à l’aéroport de LaGuardia à New York, aux États-Unis, raconte le journal local The City. Un audit du bureau de l’inspecteur général de l’autorité portuaire a en effet révélé que 25 clients avaient été facturés entre 18 et 27 $ pour une bière, au terminal C de LaGuardia, un prix que l’autorité portuaire a qualifié de « totalement injustifiable ». Tous les clients ont depuis été remboursés, a précisé la direction de l’aéroport.

Une erreur selon la société qui gère le bar incriminé

La bière en question était proposée au sein de bars gérés par l’entreprise OTG, qui possèdent 130 établissements à travers les États-Unis. Selon OTG, à l’origine, le prix de 27 $ correspondait à un tarif exceptionnel pour une bière saisonnière proposée dans certains établissements gérés par l’entreprise et n’aurait pas dû être appliqué aux bières servies au sein de l’aéroport LaGuardia à New York.

La société a annoncé avoir pris des mesures pour éviter que de pareilles mésaventures ne se reproduisent, notamment en embauchant de nouveaux cadres pour l’équipe qui supervise la tarification.

Les autorités portuaires vont renforcer leurs contrôles

« Personne ne devrait débourser une somme aussi exorbitante pour une bière », a reconnu Kevin O’Toole, président des autorités aéroportuaires de New York et du New Jersey, cité par The Guardian. Après la publication d’un premier article dans le quotidien new-yorkais, le 13 mai dernier, les Autorités aéroportuaires de la ville ont réagi en annonçant qu’elles procéderaient à des contrôles de prix afin de mieux protéger les clients de l’aéroport contre les surfacturations. Les autorités invitent également les voyageurs à leur signaler tout exemple de prix « irréalistes » pratiqués au sein des aéroports de l’État de New York.

L’agence précise que les bars et les restaurants opérant au sein de l’aéroport de LaGuardia devront désormais s’aligner sur les prix du marché avec un surcoût maximum de 10 %.

Polémique sur les réseaux sociaux

L’affaire avait d’abord été médiatisée l’année dernière, après qu’un internaute dénommé « Cooper Lund » eut posté sur Twitter le menu d’un bar de l’aéroport de LaGuardia affichant des prix délirants sur les bières. La nouvelle politique de prix affichée par les aéroports de New York laisse en effet un goût amer aux voyageurs habitués à payer une assiette de frites 10,90 $, constate The City. »La seule façon d’avoir un vrai respect de ces règles, c’est de se plaindre assez fort sur Internet », explique Cooper Lund.

« 27 $ pour une bière, c’est seulement la cerise sur le gâteau, mais ce n’est pas ça la vraie question. Le problème, c’est bien la bière à 20 $, la bière à 18 $, c’est l’ensemble de ces prix ridicules », souligne le trentenaire originaire de Brooklyn.

Fin d’une époque, New York débranche son dernier kiosque téléphonique

La ville de New York a débranché lundi son dernier kiosque téléphonique à pièces, le célébrissime « payphone booth », remplacé depuis quelques années par des bornes WiFi gratuites.

Mais que les fans de Superman se rassurent: Manhattan va conserver quatre cabines téléphoniques fermées, celles dans lesquelles le journaliste Clark Kent se change en super-héros. Lundi matin, New York a mis fin à un mythe popularisé dans la culture populaire.

Devant la presse, les autorités municipales et le président (l’équivalent du maire) de l’arrondissement de Manhattan Mark Levine ont fait démonter et déposer sur un camion le dernier « booth » abritant deux téléphones, qui trônait à l’angle de la 7e avenue et de la 50e rue.

« J’étais là aujourd’hui pour un dernier au revoir au fameux – ou infâme? – téléphone payant de NYC. L’absence de tonalité ne me manquera pas mais je dois reconnaître que j’ai eu un pincement au cœur de nostalgie de le voir partir », a écrit sur Twitter Mark Levine.

« C’est la fin d’une époque »

« C’est vraiment la fin d’une époque, mais aussi, on l’espère, le début d’une nouvelle ère avec un accès plus égalitaire à la technologie », a vanté M. Levine, en allusion aux quartiers du nord de Manhattan, Harlem notamment, moins bien couverts par les réseaux téléphoniques et internet.

Les téléphones publics filaires ont commencé à disparaître des rues de New York au début des années 2000 à mesure qu’apparaissaient les téléphones portables, puis dans les années 2010 avec l’explosion des smartphones.

A partir de 2015, Manhattan a accéléré l’installation de milliers de bornes LinkNYC offrant du WiFi et des appels locaux gratuits. Ces kiosques devraient progressivement être reliés à la 5G.

1 jour 1 chanson Alison Krauss : Union station Broadway

Alison Krauss & Union Station — « Broadway » — Live | 2002 – YouTube

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Je me tenais sur la foi et le coin de l’ambition
Je suis venu ici pour couler ou nager
Et pour leur montrer à tous qu’ils avaient tort
Et bien que je n’aurais jamais pensé que j’irais aussi loin

Alors les rideaux sont baissés
Pour le moment je suis quelqu’un
Il y avait ceux dans les coulisses qui attendaient, qui venaient de cette façon
Maintenant il y a parti
Mais il y a toujours quelqu’un à la maison qui n’oublie jamais qui vous êtes

Quand je serai en bas et que je vieillirai
, je ne serai pas le long d’une voie
ferrée, je ne serai pas lié à une vie dans le froid
Cela a été un rythme soutenu pour garder mes pas entre ces fissures sur Broadway
Et ma foulée en rythme au rythme de la maison, douce maison
Quand je suis en bas et que je vieillis
, je ne serai pas le long d’une voie
ferrée, je ne serai pas lié à une vie dans le froid
Ça a été un rythme régulier pour garder mes pas entre ces fissures à Broadway
Et ma foulée en rythme au rythme de la maison, sweet home

Ne peut pas continuer, je suis au sommet de mes meilleures années
Je rentre à la maison, c’est trop solitaire sur l’échelon inférieur ici

C’est un rythme régulier pour garder mes pas entre ces fissures sur Broadway
Et ma foulée en rythme au rythme de la maison, douce maison