Archives mensuelles : novembre 2021

STARBUCKS ET AMAZON FONT BOUTIQUE COMMUNE À NEW YORK

PAR L’AFP

La chaîne américaine de cafés Starbucks a ouvert jeudi à New York, en partenariat avec Amazon, un magasin à mi-chemin entre le café et l’épicerie, où les clients peuvent faire leurs emplettes sans avoir à passer en caisse. Le lieu, situé au sud-est de Central Park, sur l’île de Manhattan, utilise la technologie « Just Walk Out » des épiceries Amazon Go, où les achats sont enregistrés par capteurs et caméras. En entrant dans ce café hybride, les clients pourront soit récupérer au bar une boisson commandée via l’application Starbucks, soit accéder à la supérette grâce à un code envoyé sur leur smartphone par Amazon, à leur carte de crédit ou même à la paume de leur main s’ils utilisent le service de paiement « Amazon One ». L’épicerie propose une sélection d’articles disponibles dans les cafés Starbucks (bouchées aux oeufs sous vide, sandwiches pour le petit-déjeuner, boîtes de protéines), les magasins « Amazon Go » (salades, sandwiches, en-cas) ainsi que des produits de traiteurs et de restaurants locaux. La supérette, ouverte 7 jours sur 7 et jusqu’à 22 heures en semaine, dispose également de cabines individuelles et collectives où les clients peuvent s’asseoir.    Starbucks et Amazon envisagent d’ouvrir deux autres espaces similaires l’an prochain, dont l’un sera situé dans l’immeuble du New York Times au coeur de Manhattan. Avec la pandémie et les risques de contamination au coronavirus, le géant des cafés a dû s’adapter aux nouvelles habitudes des consommateurs, qui sont de plus en plus nombreux à vouloir récupérer leur commande sans avoir à s’éterniser en caisse. En juin 2020, le patron du groupe, Kevin Johnson, avait annoncé que Starbucks allait fermer jusqu’à 400 lieux au cours des 18 mois à venir et se recentrer sur les points de vente à emporter, qui représentaient déjà 80% des transactions dans les cafés de la marque aux Etats-Unis.

1 jour 1 chanson : AC/DC : Safe in New York city

Safe in New York Cityest une chanson du groupe de rock australien AC/DC,extraite de leur album Stiff Upper Lipsorti en 2000. La chanson, qui a été écrite par les membres et les frères, Angus et Malcolm Young,est sortie en single le 28 février 2000. [1][2] Il a été coproduit par leur frère aîné George et le groupe. Il atteint la 21e place du classement américain Billboard Mainstream Rock[1]. [3]

La vidéo de la chanson, réalisée par Andy Morahan[4], montre le groupe jouant dans un tunnel animé de la ville, entouré de policiers armés. Le CD single promotionnel contient une version live de la chanson, qui a été enregistrée le 13 septembre 2000 à l’America West Arena à Phoenix, Arizona. Cette version live a ensuite été rééditée neuf ans plus tard sur le coffret Backtracks.

La piste a gagné en poésie après les attaques du 11 septembre contre le World Trade Center à New York. Angus Young a déclaré que bien qu’à l’origine les paroles étaient destinées à se moquer de l’affirmation de Rudy Giulianiselon laquelle il avait nettoyé Manhattan: « Pour moi, New York est une ville où vous ne pouvez jamais prédire ce qui va suivre. » [5] La chanson a ensuite été incluse dans le mémorandum de Clear Channel de 2001,une liste de chansons « lyriquement discutables ».

pour écouter et voir le clip

AC/DC – Safe In New York City (Official HD Video) – YouTube

Pour les paroles

Paroles et traduction AC/DC : Safe In New York City – paroles de chanson (lacoccinelle.net)

NEW YORK: LE PASS VACCINAL EXIGÉ POUR ASSISTER À CÉLÉBRATION DU NOUVEL AN À TIMES SQUARE

New York – Les personnes, qui veulent assister à la traditionnelle célébration du nouvel an qui se déroule à la mythique place new-yorkaise de Times Square, sont tenues de fournir une preuve de vaccination, annoncent, mardi, les autorités de la métropole américaine.

« Nous voulons accueillir des dizaines de milliers de visiteurs pour les festivités du nouvel an à New York, mais nous exigeons que tout le monde soit vacciné », a déclaré le maire sortant de la Grande Pomme, Bill de Blasio, lors d’une conférence de presse.

L’année dernière, cet événement traditionnel de New York s’était déroulé virtuellement à cause des restrictions imposées par les autorités afin de faire face à la propagation du coronavirus.

M. de Blasio a en outre indiqué que la coordination et les préparations vont bon train avec les Départements de la Santé et de police, pour assurer le bon déroulement des festivités.

De son côté, le directeur de Times Square Alliance, Tom Harris a indiqué que toutes les personnes âgées de cinq ans et plus doivent être munies d’une preuve de vaccination pour assister à cet événement.

Les personnes aux besoins spécifiques qui ne peuvent pas se faire vacciner, doivent fournir un test PCR négatif dans les 72 heures précédant l’événement, a-t-il ajouté lors de la conférence de presse.

En 2020, la célèbre place de Manhattan était restée fermée au public pour la première fois depuis des décennies. Les festivités attirent normalement environ un million de personnes chaque année.

Les célébrations devant accueillir la nouvelle année 2022 interviennent après que les autorités américaines aient décidé d’autoriser, à partir du 8 novembre, les voyageurs étrangers d’accéder au territoire américain s’ils fournissent la preuve d’une vaccination complète contre la Covid-19 et un test négatif dans les trois jours précédant leur départ.

1 jour 1 chanson : A-ha : Manhattan skyline

« Manhattan Skylineest une chanson du groupe norvégien A-ha,sortie le 16 février 1987 en tant que troisième single de leur deuxième album studio, Scoundrel Days (1986). Il atteint la 13e place du UK Singles Chart.

La chanson a été co-écrite par le claviériste Magne Furuholmen et le guitariste Paul Waaktaar-Savoy. La chanson commence avec Furuholmen jouant un son de synthétiseur de clavecin en fa majeur,avant de se lancer dans un refrain de style hard rock avec un riff de guitare en ré mineur. Dans la biographie officielle d’A-ha, The Swing of Things 1985-2010 de Jan Omdahl, Furuholmen a déclaré: « Manhattan Skyline » était peut-être l’un des projets de copier-coller les plus inspirés que Paul et moi avons fait. J’ai écrit la partie calme. Paul a écrit la partie rock. Je pensais que je faisais un classique quand j’ai travaillé sur le riff d’ouverture. Bon, d’accord, c’est un classique, en fait. » [1]

La face B, « We’re Looking for the Whales », a été enregistrée lors d’un concert au Fairfield Halls,Croydon à Londres le 19 janvier 1987.

La version single omet les paroles « you see things in the depths of my eyes that my love’s run dry » qui est présente deux fois sur la version album pendant le refrain principal de la chanson.

Pour écouter la chanson

a-ha – Manhattan Skyline (Official Video) – YouTube

Pour lire les paroles

a-ha – Manhattan Skyline Paroles | Paroles de génie (genius.com)

1 jour 1 chanson sur New York

New York doit être la ville qu a le plus inspiré les chanteurs, les paroliers, les compositeurs, il doit exister des milliers de chansons sur la Grosse pomme.

Sinatra, Madonna, John Lnnon, Nougaro, Sardo, U2 pour ne citer qu’eux.

Mais pas qu’eux.

Je vais vous faire déécouvrir ou redécouvrir des chansons sur Big Apple

Aujourd’hui

3 rd bass : Brooklyn queens

pour écouter la chanson

3rd Bass – Brooklyn-Queens – YouTube

pour voir les paroles

3e basse – Brooklyn-Queens Lyrics | Paroles de génie (genius.com)

New York : des sirènes un peu trop bruyantes

Pour lire l’artice

New York : des sirènes un peu trop bruyantes | LCI

À New York, plus qu’ailleurs, les véhicules d’urgence sont responsables de plus en plus d’accidents. En 2020, 114 morts impliquant des véhicules de police ont été enregistrées, 33 ont été causées par des ambulances et 25 par des camions de pompiers. On ne fait pas le tri entre ce qui est urgent et ce qui ne l’est pas. C’est ce que nous explique le docteur Jeffe Clawson, urgentiste à Salt Lake City et inventeur d’un protocole d’urgence utilisé dans 60 pays, dont la France, mais toujours pas aux États-Unis.

Les pompiers ou ambulanciers céderaient un peu trop facilement aux chants des sirènes. Une utilisation abusive que nous confirme Powell Delwinski, ambulancier de Manhattan. Selon cet urgentiste, « certains font un peu les cow-boys », alors que « les sirènes ne vous font pas arriver plus vite. » En effet, les études montrent qu’il y a très peu d’écart de durée entre un trajet effectué avec sirène et un autre sans. Une partie de l’explication réside dans le comportement parfois inapproprié des usagers désarçonnés par la fréquence très aiguë du son.

Le maire de New York promet le retour du Nouvel An à Times Square

Le maire de New York, Bill de Blasio, a promis mardi le retour des foules pour la fête du Nouvel An sur la place de Times Square. Les célébrations avaient été annulées en 2020/2021 à cause de la pandémie de coronavirus.

« Des centaines de milliers de personnes vont venir faire la fête, nous pouvons enfin nous retrouver, ce sera fantastique », a annoncé le maire démocrate. Il a cependant aussitôt précisé que pour entrer dans les lieux, une « preuve de vaccination » serait nécessaire.

Les seules exceptions possibles concernent les enfants de moins de cinq ans ou les personnes ayant une incompatibilité médicale avec le vaccin, lesquelles devront fournir un test négatif de moins de 72 heures.

Epicentre de la pandémie

Les célébrations du Nouvel An sur Times Square ont lieu depuis le début du XXe siècle. Elles sont emblématiques de la capitale culturelle et touristique américaine. Les images de ses feux d’artifice font le tour du monde, en plus d’être télévisées aux Etats-Unis.

Mais l’année dernière, la traditionnelle descente de la boule sur Times Tower et le lâcher de confettis avaient eu lieu dans une place vide, la fête n’ayant lieu que pour la télévision et une poignée de « travailleurs essentiels » et leurs familles, en l’honneur de leur rôle pendant la crise du Covid-19.

La ville de plus de 8 millions d’habitants avait été l’épicentre de la pandémie aux Etats-Unis au printemps 2020 et avait dû se mettre à l’arrêt, alors que ses hôpitaux étaient débordés par les malades et plusieurs centaines de morts chaque jour. Depuis le début de la pandémie, plus de 34’000 personnes sont décédées du Covid-19 dans la mégapole américaine.

Depuis le 8 novembre et la réouverture totale des frontières américaines, New York, pour qui le tourisme est un secteur essentiel, peut à nouveau accueillir les visiteurs du monde entier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Dix ans après, que reste-t-il d’Occupy Wall Street ?

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Dix ans après, que reste-t-il d’Occupy Wall Street ? (telerama.fr)

OCCUPY WALL STREET, DIX ANS APRÈS (3/4). Présidence de Donald Trump, inégalités toujours plus abyssales… La décennie écoulée aux États-Unis a-t-elle sonné le glas de l’esprit révolutionnaire d’Occupy Wall Street ? Non, car le mouvement a transformé le paysage politique, et nourri d’autres combats, de MeToo à Black Lives Matter.

Lorsque le maire de New York, Michael Bloomberg, prit la parole devant la presse le 15 novembre 2011, quelques heures après avoir fait évacuer Zuccotti Park de ses occupants, il lança, non sans sarcasme : « Ils devront désormais occuper l’espace avec le pouvoir de leurs arguments. » Le défi était tentant. Le mouvement Occupy, lancé à Wall Street avant de s’étendre à tout le pays, bénéficiait de l’approbation d’une majorité de la population américaine. Et il s’insérait dans une vague de protestations mondiale : cette même année, de l’Amérique du Sud aux pays arabes ou en Europe du Sud, et malgré des situations nationales très différentes, de larges protestations populaires réclamaient un peu partout la fin de systèmes politiques et économiques fondés sur l’injustice. Expulsé des places froides des villes qu’il s’était réappropriées pour en faire des lieux de vie collective révolutionnaires, le mouvement allait-il réussir à inscrire sa méthode et sa doctrine dans la durée ?

New York rouvre ses bras aux touristes européens

New York rouvre ses bras aux touristes européens – LesFrancais.press

Les Européens en « rêvaient » : après 20 mois de fermeture des frontières américaines due à la pandémie, New York rouvre ses bras aux visiteurs du Vieux continent même si la Grosse Pomme ne retrouvera qu’en 2024 son effervescence touristique d’avant la crise.

Le 8 novembre, les États-Unis ont fini par lever leur « interdiction de voyage » aux visiteurs étrangers « non essentiels » en provenance d’une trentaine de pays, dont ceux de l’espace européen Schengen, du Royaume-Uni, de Chine, d’Inde ou de Russie. À la condition d’être complètement vaccinés.

Et depuis quelques jours, l’île de Manhattan — poumon économique mondial et aimant touristique international — est nettement plus animée, avec une amorce de retour des Européens.

À l’instar d’Eglantine Lasserre, une Bordelaise de 40 ans, qui, dès lundi (8 novembre), a pris le premier avion depuis la France : « New York a toujours été un rêve. Quand j’ai entendu parler de la réouverture des frontières, j’ai sauté sur l’occasion et suis arrivée directement », raconte-t-elle tout sourire à l’AFP, au milieu du célébrissime décor d’écrans géants publicitaires de Times Square.